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Poésies Françaises au cours des siècles Le givre Mon Dieu! comme ils sont beaux Les tremblants animaux Que le givre fait naître La nuit sur ma fenêtre! Ils broutent des fougères Dans un bois plein d'étoiles, Et l'on voit la lumière A travers leurs corps pâles. Il y a un chevreuil Qui me connaît déjà; Il soulève pour moi Son front d'entre les feuilles. William Chapman (1850-1917) Le givre. Et quand il me regarde, Ses grands yeux sont si doux Que je sens mon cœur battre Et trembler mes genoux. Laissez-moi, ô décembre! Ce chevreuil merveilleux. Je resterai sans feu Dans ma petite chambre.
Jean RICHEPIN (1849-1926) (Recueil: La chanson des gueux) Une bête à corne née un 13 AVRIL 1952 Maman et Mère-Grand...! Vous trouverez ici: humour de bon matin, sagas historiques sur ma Bretagne, des contes et légendes, des nouvelles et poèmes, de très belles photographies de paysages et d'animaux, de la musique (une petite préférence pour la musique celte), des articles culturels, et de temps en temps quelques coups de gueules...! Tous droits réservés © Afficher tous les articles par ZAZA-RAMBETTE Navigation de l'article
Un Jour Un Poème (re)découvrez la poésie Les poètes Les membres Les articles Les commentaires Les jeux Le poème anonyme Le poète mystère Une histoire de dates Au hasard! Poème classique au hasard Poète au hasard Poème d'un membre au hasard Créez facilement votre propre page de poésie! Poésie le livre blanc. Inscription Connexion Accueil > Les membres > Page de poésie de guillaumePrevel > Le givre (Haïku) Le givre (Haïku) guillaumePrevel Mes doigts sont tremblants Du givre qui naît dehors Toute vie s'endort. 27 septembre 2013 Poème préféré des membres Aucun membre n'a ajouté ce poème parmi ses favoris. Commentaires Aucun commentaire Rédiger un commentaire Nom Email Nom: PREVEL Prénom: GUILLAUME Naissance: non renseigné Présentation: non renseigné Accéder à sa page de poésie Ses poèmes les plus vus | Ses poèmes les moins vus | Ses poèmes les plus commentés Le feu crépite Le pommier en fleurs Les vieux Le sanctuaire oublié Presque 4 ans Le chat et l'oiseau (Fable) Transhumance Confucius Je n'ai pas encore atteint la démesure La petite birmane Sang et glaise Adieu muses et poésie Polyphème Reflets d'enfer Que dire?..
» La ville est un enfouissement: « on a transformé la synagogue en piscine municipale ». Il n'oublie pas « la tension qui monte » lorsqu'il parvient « au lieu où un jour / il m'est arrivé quelque chose de mauvais ». Krynicki interroge l'action en ce monde, l'ennui et le brouillard, il ne parle pas politique. Les deux brefs ensembles qui donnent son titre au volume sont placés sous « les accès de colères terrifiants » du père et « le givre gris d'un murmure, fossile du désespoir ». La pierre est celle trouvée à « Nowy Swiat » (« nouveau monde », en polonais), en fait un hameau où il s'est installé. Le givre (Maurice Carême) « Arbrealettres. En retournant ce qui ressemblait à un morceau d'une meule d'un moulin, il reconnaît une pierre tombale juive. Derrière revient l'ombre du père, quand il lui apprenait le « travail physique » car « ça pourra te sauver la vie quand tu devras fuir », parce que le père et le fils partagent la même peur qu'ils ne s'avouent pas, celle d'un « visage tordu que dessinaient les veines du bois, dans le coin gauche de la porte en haut entre la chambre où je dormais alors, et la cuisine ».
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Laissez moi, ô décembre! Ce chevreuil merveilleux. Je resterai sans feu Dans ma petite chambre. Maurice Carême Un grand merci à Patrick Lelièvre pour ces belles images que je partage bien volontiers avec les lecteurs d'émotions numériques. Jean-Michel Nollevaux