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- Situations à risque de la survenue de troubles du comportement. - Les signes d'alerte d'un trouble du comportement et/ou cognitif. - Prise en charge non médicamenteuse des changements et des troubles du comportement: Mise en situation pratique et apprentissage de l'usage de grilles spécifiques (NPI - ES). 16h30 - V. Les troubles du sommeil - Rappel rapide sur le sommeil chez la personne âgée. - Cause des troubles du sommeil. - Approche non médicamenteuse; Réduire l'usage des somnifères! VI. Questions/Réponses complémentaires entre les participants et l'intervenant pour faire le point sur la journée 1 7h30 - Fin de la 2ème journée JOUR 3 09h00 - I. ANTALGIE : Du CBD en cachets, contre la douleur post-op | santé log. La souffrance physique - Les soins palliatifs - Généralités sur la douleur - Etiologies et facteurs de risque - Symptomatologie de la douleur chez la personne âgée - Atelier interactif: La douleur liée aux soins - prévention, repérage et mesures correctives. - Evaluation de la douleur en équipe - Travaux pratiques: Les échelles de la douleur (EVA, DOLOPLUS, ALGOPLUS, DN4).
Il est important de bien qualifier cette sensation: on retrouve cette précision dans les échelles d'évaluation qualitative de la douleur, telle que l'échelle QDSA (Questionnaire douleur de l'hôpital Saint-Antoine). Quelques termes choisis: Douleur déchirante: douleur qui évoque l'arrachement de tissus. Douleur diffuse: douleur dont le point d'origine est difficile à situer. Douleur erratique: douleur qui change souvent de place. Douleur exquise: douleur vive et très localisée, généralement provoquée par la pression. Douleur fulgurante: douleur très intense qui fait penser à un éclair. Échelle de douleur evs. Douleur irradiante: douleur qui diffuse en rayons à partir d'un point de plus forte intensité. Douleur lancinante: douleur ressentie sous forme d'élancements aigus. Douleur pongitive: douleur semblable à celle que provoquerait une pointe en pénétrant profondément. Douleur pulsatile: douleur rythmique qui bat comme le pouls. Douleur sourde: douleur peu prononcée qui ne se manifeste pas nettement. Douleur térébrante: douleur semblable à celle que provoquerait un objet en pénétrant dans le corps.
Elles sont plus particulièrement destinées aux jeunes enfants et aux personnes âgées. Chez les personnes âgées, il existe des grilles d'observation comparables. Comment gérer la douleur du patient en soins palliatifs ?. Deux principales en usage en France sont: l'ECPA (Échelle comportementale de la douleur chez la personne âgée, utilisable quel que soit le degré de communication) et l'échelle Doloplus 2. Là encore, c'est un ensemble d'attitudes et comportements qui sont notés de 0 à 4. D'autres approches existent enfin, notamment chez les enfants. Elles passent par le dessin et l'expression non verbale qui sont évalués par l'équipe soignante (psychologue, médecin, infirmière).
En cas d'inefficacité du paracétamol, prescription d'un traitement par pallier II à dose réduite. Les AINS ne doivent être utilisé qu'en cure courte. Patient épileptique: le tramadol est contre indiqué chez les patients dont l'épilepsie n'est pas contrôlé. Patient asthmatique et insuffisant respiratoire: la codéine et la dihydrocodéine sont contre-indiquées (action dépressive sur la fonction respiratoire). Grossesse et allaitement: seul le paracétamol est indiqué. SURVEILLANCE RAPPROCHEE ET SORTIE Réévaluations de la douleur. Prescrire les antalgiques de relais pour le retour au domicile. Donner les premières doses quand le patient sort après la fermeture des pharmacies. Échelle de douleur evendol. Après prescription d'un traitement sédatif (morphinique, codéine, topalgic, MEOPA…) déconseiller la conduite automobile. TEXTES RÉGLEMENTAIRES Prise en charge des douleurs de l'adulte modérées à intenses, recommandations après le retrait des associations dextropropoxyphène/paracétamol et dextropropoxyphène/paracétamol/caféine.