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Bonsoir à tous! Commentaire d'arrêt : affaire société Soffimat contre société d'Exploitation de chauffage, Cour de cassation, 29 juin 2010 - Commentaire d'arrêt - Mlodyy. Voilà, j'ai quelques difficultés de compréhension sur cet arrêt rendu par le Conseil d'Etat "Propetrol". Je n'arrive pas à trouver de plan pour faire un commentaire Je voulais savoir si quelqu'un pouvait éventuellement gentiment m'aider Je vous remercie par avance pour vos contributions. Il s'agit de l'exécution des contrats administratifs, plus précisément de l'imprévision me semble-t-il.
Ce qui élargit son domaine de compétence. On peut évoquer que par la jurisprudence Staffelfeden, le Conseil d'Etat a accepté de verser une indemnité fondé sur la théorie de l'imprévision alors que le contrat a déjà été exécuté et ainsi résilié. Arrêt gaz de bordeaux 1916 2018. Cela ouvre de nouvelles perspectives fondées sur l'équité. On a donc une ouverture de la théorie qui reste indispensable dans le contrat administratif. Rien que dans les années 2000, elle a du trouvée à s'appliquer en raison de l'explosion des prix de l'acier..
Car, contrairement à ce que le titre de ce travail peut faire croire, l'auteur n'a pas choisi qui était la victime et qui était le bourreau! Introduction En 1914, la distribution de l'électricité en France était assurée par une multitude d'entreprises de natures et de tailles très di¬ verses. De très nombreuses ne desservaient qu'un village et ne constituaient souvent que l'activité accessoire de petits industriels alimentant leurs voisins par des lignes construites sous le régime de la permission de voirie; d'autres au contraire (quelques dizaines) exploitaient de multiples concessions au titre de la loi de 1906 et étaient l'amorce des grands groupes industriels qui domineront la profession à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Arrêt gaz de bordeaux 1916 history. Le ministère des Travaux publics dénombrait, en 1912, environ 5 000 réseaux de distribution et évaluait à 10 millions la popu¬ lation globale des agglomérations desservies en électricité, soit le quart de la population de la France de l'époque. Mais, d'après la même source, il n'y avait que 800 000 abonnés.
Résumé du document En l'espèce, la Compagnie d'éclairage de Bordeaux se voit recevoir le titre de concessionnaire de la distribution, de la vente du gaz et de l'énergie électrique sur l'ensemble de la ville de Bordeaux. Arrêt de principe du Conseil d'État, le 30 mars 1916 : le principe d'immutabilité des conventions. Ainsi la ville de Bordeaux charge la Compagnie d'un service public qui sera rémunéré par les usagers du service. Le prix du gaz sera donc fixé par la Compagnie générale d'éclairage de gaz de Bordeaux. Le prix du charbon avait été multiplié par trois en moins de deux ans, et la compagnie requérante estimait qu'elle ne pouvait plus satisfaire ses obligations sans aller à la ruine, et demandait donc compensation du fait de cette hausse brutale et imprévue du prix du charbon.
Ainsi, en vertu de cet arrêt, pour les juges judiciaires, le contrat doit rester intangible et doit respecter la volonté des parties. Dans le droit civil des obligations, ce principe bien que controversé continue d'être fondamental. En revanche, dans le droit administratif la théorie de l'imprévision a permis l'attribution d'indemnisation: L'arrêt fondateur est rendu par le Conseil d'Etat le 30 mars 1916 dans l'affaire Gaz de Bordeaux: En l'espèce, on se situe pendant la première guerre mondiale. Le contrat en question concernait la ville de Bordeaux et la compagnie générale d'éclairage de Bordeaux. Arrêt gaz de bordeaux 1916 gold. État donné, l'augmentation du prix du charbon, la compagnie connaît des difficultés imprévues pour assurer la continuité du service public. Ces difficultés n'étaient pas ainsi prévues lors de la conclusion du contrat. Le Conseil d'Etat rappelle " qu'en principe le contrat de concession règle d'une façon définitive jusqu'à son expiration, les obligationsrespestives du concessionnaire et du concédant. "
Voir: l'ordonnance n° 2016-131 du 10 fév 2016: l'Article 1195 Code civil Directives européennes du 26 fév 2014 sur les concessions et sur les marchés Les ordonnances 23 juillet 2015 sur les marchés publics et du 29 janvier 2016 sur les concessions Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous: