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Devant la présidente du Parc naturel régional du Perche Anick Bruneau et de ses vice-présidents Pascal Pecchioli et Harold Huwart, le jeune artisan a détaillé les spécificités de ce chantier. Un trésor composé de 239 pièces d'or découvert dans un manoir du Finistère. Perche: la charpente fait désormais partie des savoir-faire qui ont obtenu la marque Valeurs Parc Anick Bruneau a expliqué: « Le Parc naturel régional du Perche est délégataire de la marque nationale Valeurs Parc qui appartient au ministère de la Transition Énergétique. Outre des métiers du bâtiment, elle valorise au sein de notre territoire des produits du terroir comme la Baguette du Perche ou encore des produits touristiques comme des hébergements, des circuits de visite... » « Une reconnaissance de nos métiers et de nos savoir-faire » Pascal Pecchioli a pour sa part rappelé les grandes étapes du développement de la marque au sein du PNRP « avec la mise en place en 2007 de la charte de qualité pour la restauration du patrimoine bâti percheron ». Pour les trois entrepreneurs labellisés lundi, « C'est une reconnaissance de nos métiers et nos savoir-faire.
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Ils ont alors identifié neuf carrières, souterraines ou à ciel ouvert, dans l'Oise et dans l'Aisne. Parmi celle-ci, la plus importante est sans doute la carrière de La Croix-Huyart, dans l'Oise. C'est ici que l'extraction et la préparation des pierres ont débuté il y a un mois. La taille de pierre, un art qui a séduit - Saint-Benoît-sur-Loire (45730). Le lieu devrait fournir 640 m³ de calcaire lutétien, notamment utilisé pour la construction des immeubles haussmanniens. Comme le déclare l'établissement public chargé de la restauration, cette dernière « réclame des pierres de remplacement en quantité bien plus importante que pour les travaux ordinaires d'entretien et de restauration de monuments historiques ». Les pierres seront aussi utilisées pour la restauration des murs-bahuts endommagés, sur lesquels repose la charpente. Les équipes extraient de nombreuses quantités de blocs de pierre, qui seront étudiés par la BRGM pour la reconstruction des voûtes ©Olivier Rambach / Société Nouvelle Saint-Pierre-Aigle Pesant entre six et quinze tonnes, les blocs extraits sont transportés par camion à l'usine de Saint-Pierre-Aigle pour être sciés et lavés, avant d'être examinés par le BRGM pour en valider la conformité, puis d'être envoyés sur le chantier de Notre-Dame.