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Edité par Muséum d'histoire naturelle de Montauban et de Toulouse, 1994, 1995., 1994 Etat: Comme neuf Couverture souple A propos de cet article 2 volumes in-4 brochés, couvertures illustrées, 191 + 47 pages, illustrations en noir (Tome1), illustrations en noir et en couleurs (Tome2). Carton d'invitation pour le vernissage de l'exposition présentée le 23 septembre). N° de réf. du vendeur 005040 Poser une question au libraire Détails bibliographiques Titre: Bijoux de la Préhistoire. Tome1: La parure... Éditeur: Muséum d'histoire naturelle de Montauban et de Toulouse, 1994, 1995. Guide sur l'histoire du bijou : Un récit palpitant !. Date d'édition: 1994 Reliure: Couverture souple Illustrateur: BURIAN, Zdenek. Etat du livre: Comme neuf Description de la librairie Visitez la page d'accueil du vendeur Membre d'association Les membres de ces associations s'engagent à maintenir des normes de qualité supérieure. Ils garantissent l'authenticité de tous les articles proposés à la vente. Ils fournissent des descriptions expertes et détaillées, indiquent tous les défauts importants ainsi que les restaurations, fournissent des prix clairs et précis et font preuve d'équité et d'honnêteté tout au long de la relation commerciale.
A l'époque gothique (XIIe s. -XVe s. ), le fermail, sorte de broche, se caractérise par des formes trilobées ou quadrilobées qui font, de manière évidente, référence à l'art des cathédrales et du vitrail. Tout au long de l'époque médiévale, la couleur est au rendez-vous grâce au réemploi d'intailles et camées antiques montés en bague voire sur des couronnes. L’Histoire du bijou. De la Préhistoire à l’Antiquité. (PART 1/3) - Celine Poudroux Creation. En France, les ateliers de Limoges et de Paris développent aussi l'usage de l' émail peint ou champlevé pour offrir de la couleur aux bijoux. A la Renaissance (XV-XVIe siècle), les bijoux ornent les couvre-chefs des messieurs et les robes des dames. En Europe occidentale, la perle, l'or voire l'émail sont ainsi employés pour la fabrication de l'enseigne, du commesso ou du pent-à-col. Le bijou devient un enjeu politique et surtout un objet de collection. En France, par exemple, François Ier instaure, en 1530, les Joyaux de la Couronne qui servent les besoins militaires et diplomatiques de l'Etat. Pour le XVIIe siècle et le XVIIIe siècle, c'est le diamant qui s'impose.
Grâce à la technique de la glyptique, l'art de travailler la pierre, les bijoutiers mésopotamiens créent un répertoire iconographique complet rassemblant motifs floraux et végétaux, figures divines et bestiaire fantastique. A la même époque et au cours du second millénaire av. -C., en Egypte et en Grèce minoenne (site de Cnossos), les orfèvres s'essaient à la granulation, au filigrane ou à la fonte à la cire perdue, techniques de fabrication inventées par les civilisations de l'Orient ancien. En Grèce continentale, les tombes et les ateliers de Mycènes, Thèbes ou Kakovatos ont livré des colliers en or, ambre ou lapis-lazuli voire des sceaux en jaspe rouge, améthyste et cornaline. Depuis l'Ancien Empire (2700-2200 av. -C. Bijoux de la préhistoire photo. ), les bijoutiers égyptiens combinent l'argent et l'or jaune aux gemmes que sont le lapis-lazuli, la cornaline ou la turquoise. Au Nouvel Empire (1550-1069 av. ), ils font preuve d'ingéniosité en employant, par exemple, la faïence et le verre pour imiter les pierres de couleur.