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Le Père Goriot est un petit roman de moeurs parisiens qui ait partie des Scènes de la vie privée. Avant que ce récit soit totalement achevé, sa parution débute sous forme de feuilleton dans La Revue de Paris en 1834. La première édition, parue le 2 mars 1835, est divisée en sept chapitres. L'édition avec laquelle j'ai travaillé compte quatre parties – I. Une Pension bourgeoise, II. L'Entrée dans le monde, Ill. Trompe-la-mort, IV. La mort du père Goriot. L'histoire est située à Paris de la Restauration, notamment au faubourg Saint-Marceau, à la Chaussé-d'Antin et au faubourg Saint-Germain. Le faubourg Saint-Marceau sur la rive gauche, roche du quartier Latin est celui où la pension Vauquer est situé. C'est un quartier des débuts dans la vie. Au contraire, le faubourg pension Vauquer est situé. C'est un quartier des débuts dans la vie. Au contraire, le faubourg Saint-Germain et la Chaussé-d'Antin sont des quartiers élégants. Le premier celui de l'aristocratie distinguée où règne madame de Bauséant et le second celui de la nouvelle bourgeoisie où on trouve l'hôtel de Restaud et la maison du banquier Nucingen.
Dès le début du texte, Delphine de Nucingen l'oblige à aller au bal sans qu'il s'y oppose. L'antithèse « élégant parricide » nous montre que, déjà, Rastignac se range du côté de Delphine et essaye d'atténuer l'idée de la mort du père. Même face à plusieurs choix, « la Famille, Le Monde et Vautrin », où se succèdent plusieurs allégories pour rendre le choix plus important, Eugène « n'ose prendre parti ». Il préfère s'inventer des excuses pour ne pas s'en vouloir trop. « Il est même prêt à faire à sa maîtresse le sacrifice de sa conscience ». Ainsi, Eugène se bat contre sa conscience pour atténuer sa faute; il se dit que le « père Goriot n'est pas aussi dangereusement malade qu'il le croit ». Il trouve (l. 880 à 883) des raisonnements pour justifier l'attitude de Delphine face à son père agonisant. Au cours du texte, on remarque qu'Eugène prend le parti de la lâcheté jusqu'à l'admettre complètement à la fin du texte. Alors qu'au début il parle de « parricide », il se dit enfin qu'il a dû se tromper et que le Père Goriot n'est pas aussi malade que ça.
À travers du roman le lecteur suit l'évolution de ce jeune homme cherchant à trouver dans l'océan des règles du grand monde une bonne direction vers la puissance et respectabilité. Le père Goriot, vieillard de soixante-neuf ans et ancien homme d'affaire, est un de sept pensionnaires s'installés chez madame Vauquer. Il aime follement ses deux filles, Delphine et Anastasie, et sa passlon paternelle change successivement en maladie — il n'hésite pas accepter des situations humiliantes pour les voir ou les seulement entendre parler. Mais toutes les deux en profitent. Finalement, Goriot se ruine financièrement, physiquement et moralement pour ses deux filles ingrates — à mesure qu'il se dépouille de l'argent pour le donner à ses filles, il devient laide, misérable, malade PAGF
Ainsi, la montée des étages représente la montée dans la misère, la montée dans la pauvreté et le dépouillement, progressivement, Goriot court vers sa ruine.
3) Les personnages: me lois / matériel (Ligne 1 p 304): Descriptions physique: AI n' en a aucunes. C'est une jeune fille au début de l'histoire. Descriptions sociale: Fille de famille peu aisée, née dans une famille d'employés, mariée à un fonctionnaire. Descriptions morales: Mal dans sa situation sociale, dépressive, désespérée, pleine de chagrin et de regret. Mer lois (Ligne 4 pu): Description physique: AI n' en a aucunes. Description sociale: Commis du Ministère de l'Institution Publique. Des amis. Modeste homme. Description morale: Pas d'information. On peut cependant penser que l'homme est plus ou moins heureux, il est très économe par ailleurs. me Forestier (Ligne 8 que l'homme est plus ou moins heureux, il est très me Forestier (Ligne 87 pu): Description physique: Aucunes informations.