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CHAPITRE VII CALCUL DU SENS: étude de l'adjectif sec VII. 6. Mieux caractériser le cotexte VII. 1. Des classes de sélection distributionnelle … Pour pallier le fort taux de silence de la méthode précédente, nous avons cherché à ne plus nous appuyer uniquement sur des fréquences de cooccurrence mais à tenir compte des caractéristiques sémantiques du cotexte lexical. L'idée est d'associer une zone de l'espace sémantique non plus à chaque nom rencontré en cooccurrence avec sec mais à des classes de noms. Comparaison de deux types de schémas de sélection - ITSAP. Ceci dans le but de résoudre, entre autres, le problème des trop basses fréquences de cooccurrence. L'idée est d'inclure chaque nom dans une classe de noms ayant la même influence que lui sur la sémantique de l'adjectif sec. On veut pouvoir dans l'espace sémantique de sec définir une zone correspondant à la classe (bruit, coup... ), contraignant sec à prendre le sens du manque de douceur, distincte de celle associée à une autre classe comme (fruit, haricot, légume…), contraignant sec à prendre le sens du manque d'eau.
Les situations sont donc contrastées quant à la taille des populations en sélection et quant à l'utilisation des outils de sélection, ce qui se traduit par un état d'avancement des schémas de sélection et de leurs performances qualitatives variables. Schéma de sélection blé. Alors que la race Lacaune sélectionne les caractères fonctionnels depuis 2005 (poids de 50% dans le critère de sélection) en plus des caractères laitiers (lait et taux) et dégage un gain génétique de 0, 23 écart-type génétique (sg) par an sur l'indice global ISOL, les races ovines laitières des Pyrénées ne sélectionnaient en 2015 que les caractères de production (lait et taux) et dégageaient un gain compris entre 0, 11 et 0, 17 sg par an selon la race (tableau 2). Les ROLP ont ensuite intégré la résistance aux mammites subcliniques en 2016 et vont intégrer la morphologie de la mamelle en 2019. Enfin la race Corse sélectionne la quantité de lait à la traite pour un progrès génétique annuel de l'ordre de 0, 10 sg. De plus, la sélection pour la résistance à la tremblante, via le génotypage du gène PrP, est effective pour les 5 races depuis au moins 15 ans.