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La préparation de la mère à la mise-bas est capitale pour la production d'un colostrum de qualité. C'est ce qui déterminera l'immunité active du veau sur les premières semaines afin d'éviter tous risques d'infection. Une bonne préparation au vêlage, afin de soutenir la prochaine reproduction La surveillance des vaches laitières avant le vêlage entraîne une reprise plus rapide du cycle reproductif, du fait d'un appareil génital plus tonique post-vêlage. Il est également essentiel d'assurer une bonne transition alimentaire pour maintenir l'appétit des vaches, en apportant des micronutriments à la bonne dose. Ceci permettant de réduire au maximum l'intervalle vêlage/vêlage. Comment organiser la préparation au vêlage Les vaches laitières recevant une alimentation inadaptée, ont souvent des performances reproductrices décevantes. Lors de cette période, il est déterminant de couvrir à la fois les besoins en nutriments de la vache mais également de son futur veau. La bonne gache lyon. Découvrez notre programme alimentaire diététique adapté en trois étapes.
Quelques troupeaux survivront malgré tout. C'est au sortir de la Seconde Guerre mondiale qu'un éleveur d'Ychoux constitue son troupeau de vaches provenant d'animaux venant des dunes. À sa mort, en 1987, le cheptel est réduit à une vingtaine de têtes. « Du printemps à l'automne, nous les utilisons pour la gestion des zones humides dont la fédération à la charge » Le C onservatoire des races d'Aquitaine prend alors conscience que la vache marine landaise est en voie d'extinction et se lance dans un programme de sauvegarde. Après identification, les animaux vont être achetés par l'association de protection de la nature et de l'environnement Sepanso Gironde et réintroduits en 1990 sur la réserve naturelle de l'étang de Cousseau (Gironde). « En pension complète » Au fil des années, ce troupeau va s'agrandir. Le conservatoire va confier le cheptel à différents partenaires, dont la F édération départementale des chasseurs des Landes, qui a rejoint le programme en 2011. « Amateurs de bonne viande ! Nana, une vache exceptionnelle ». Aujourd'hui, l'association veille et assure la subsistance et la bonne santé de 70 vaches marines landaises.
Il démarre alors de la transplantation d'embryons jersiais sur ses Holsteins. Puis en 2019, ses deux fils rejoignent la structure: Baptiste en tant que salarié et Clément en tant qu'associé avec comme projet d'installation de développer la race. Ils achètent alors 33 génisses et 8 vaches supplémentaires, signant ainsi l'arrêt de la transplantation. « L'essayer, c'est l'adopter », avouent père et fils qui n'ont pas songé une minute à faire du croisement de race. « On voulait vraiment élever des Jersiaises pures car on est attachés à la race. » Aujourd'hui la Jersiaise est majoritaire dans le troupeau (une centaine de Jersiaises sur 140 VL), et la Prim'holstein y vit ses derniers jours: ils ont arrêté d'inséminer les noires dès l'été 2021 et celles-ci seront réformées au tarissement. La Prim'holstein est en voie de disparition au Gaec de la Petite Vallée, le logo en témoigne. La bonne votre drummondville. (©Terre-net Média) Une conduite en deux lots Le troupeau laitier est jusqu'à présent séparé en deux lots: les Prim'holsteins d'un côté avec les fraîches vêlées et les réformes Jersiaises (conduites en 100% bâtiment), et le reste du troupeau Jersiais en face (qui pâture).
Il faut aussi être vigilant sur la durée de rémanence des antibiotiques si on en administre. » La durée minimale préconisée est de 60 jours pour les primipares, afin de préserver la fin de leur croissance. Elle peut être diminuée à 45 jours pour les multipares. Accompagner la diminution de la production Pour réduire la production à l'approche du tarissement, on peut lever le pied sur le concentré quand on travaille en ration individualisée. Par contre, pas de diète drastique du jour au lendemain pour couper le lait. La bonne vache cheese. « Pour le bon fonctionnement du rumen, il faut respecter un minimum de transition », rappelle Sophie Géant. Au robot, limiter la fréquence à 2 traites/j et passer en monotraite une semaine avant le tarissement. Un autre levier est la fréquence de traite. « En robot, dès 30 jours avant la date prévue du tarissement, on peut n'autoriser que deux traites par jour, conseille Yannick Saillard, vétérinaire chez Innoval. En salle de traite, il est aussi possible de ne passer la vache qu'une fois par jour dans la semaine précédant le tarissement.