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Les ancres antiques avant que l'homme ne sache travailler le métal, étaient constituées d'une pierre percée en deux points opposés. L'un des trous circulaires laissait passer la corde, l'autre orifice accueillait un morceau de bois courbe dense qui servait de griffe de fond qu'il fallait changer périodiquement. Certaines ancres anciennes avaient deux griffes. La méthode fut progressivement oubliée pour les vaisseaux, navires importants mais certains pêcheurs pauvres ont conservé la méthode d'ancrage économique. Le chemin des ancres propose le vestige d'une ancre antique. Ancre à jas - tige perpendiculaire en haut de l'ancre qui évite une mise à plat au fond de la mer et permet à une des pelles (pattes triangulaires d'extrémité basse) de crocher. Ancre à jas ancienne école. Le mouillage consiste à immobiliser un bateau - navire - vaisseau, grâce à des ancres (de pierre dès l'antiquité jusqu'aux années 1950 dans la région de la presqu'île de Crozon). Bien évidemment, dès que le travail du fer fut maîtrisé, les ancres de marine devinrent toujours plus grandes et lourdes et toujours prêtent à s'agripper sur les fonds marins variés.
Click pour Agrandir Une ancre classique est constituée d'une verge portant, à l'une de ses extrémités, un jas et, à l'autre extrémité, deux bras se terminant par des pattes. Jas Tige transversale placée dans un plan perpendiculaire à celui des bras, qui donne à l'ancre une position telle qu'un des deux bras s'agrippe au fond. Verge Longue tige droite formant le corps de l'ancre. Les ancres de marine qui chassent. Bec Pointe de la patte. Patte Partie plate et pointue à l'extrémité du bras, q... Voir la suite
En 1907, avec une première exposition d'oeuvres décoratives chez Vollard, il commence à asseoir sa renommée de peintre orientaliste et animalier. Suivront des expositions régulières aux Indépendants, au Salon d'automne, à la galerie Devambez et, surtout, au Musée des arts décoratifs de Paris qui lui ouvre largement ses salles en 1914. Les ancres | Musée de l'Éphèbe. Au début des années 20, il quitte son atelier du boulevard Saint-Jacques pour se fixer aux Andelys, sur les bords de la Seine, et, épisodiquement, à Pont-Aven où les sujets et les paysages bretons influenceront un temps sa peinture. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, après un long exil au Maroc, il perd Roboa, sa troisième femme. Il revient alors en France et pose son chevalet sur la colline de l'Annonciade auprès de son fils Félix et de sa belle-fille Marie-Louise.