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» « Je vois aussi que j'ai plein de petites fifilles toutes mouillées sur les bras. » « Oh, bébé contre d'un soir 29/08/2021: El. Lui avait donné rendez-vous dans quarante cinq minutes, et elle était loin d'être prête. La jeune femme se tenait assise au bord de son lit défait. La poitrine nue. Une jupe crayon bordeaux enserrait ses cuisses. El. Avait enfilé des bas fins noirs, qu'elle avait miraculeusement trouvé au fond d'un de ses tiroirs. En tant normal, ses rondeurs et ses seins lourds étaient camouflés par des tops larges, et ses sempiternelles baskets. C'était son costume préféré, car pour El., tous habits n'étaient que déguisements. Ce soir El. Serait cette femme là. Histoire... - Histoire Erotique - Recits Erotiques | Mes Fantasmes. Une femme libre de ses envies. Qui aimer Anal Hardcore, La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1137) 29/08/2021: Gladys au Château – (suite) – Cette place était naturellement à Ses pieds … Mon attente fut longue durant la soirée et au bout d'un moment, le Maître, voyant que mes bras faiblissaient, m'autorisa à changer de position.
Mais elle, ce qu'elle veut, c'est me sucer. Elle reprend en bouche mon manche et savoure la queue virile de son père, continuant sa pipe puis embrasse le gros chapeau du champignon. Elle avance lentement ses lèvres ouvertes. Sa bouche se retrouvant déformée par le monstre de chair, suçant maladroitement car mon engin remplit entièrement sa cavité buccale. Je ne peux m'empêcher de grogner de bonheur. Je me souviens alors que je ne suis pas là pour mon plaisir mais pour éduquer ma progéniture. -Tout doux, Rose à la queue-leu-leu, si je puis dire, les enfants! Ils et elles se mettent à genoux à tour de rôle devant moi, certains avec jubilation et d'autres avec un peu d'appréhension, caressant ma bite en face de leur visage, pompant maladroitement ou aussi bien que des professionnelles du porno, certaines de manière exceptionnelle. Cela a duré environ une quinzaine de minutes, ma queue était pompée, caressée avec les mains, mise entre des seins, mes couilles léchées, gobées, mordillées. Certaines prennent leur courage à deux mains et ouvrent la bouche pour avaler mon chibre de belle taille, le branlant un peu de peur de le sucer ou s'y mettant à plusieurs.
À sa descente du train, une bise et des futilités sur son voyage, puis le silence s'installe dans la voiture … Arrivés à la maison, ma copine qui croit recevoir ma cousine va m'être d'un grand secours, car elle est plus à l'aise. Ensuite, les deux jours tous ensemble se passent bien. Fin août, ma copine absente, Katia en profite pour revenir quelques jours. La voilà sur le quai de la gare, un sourire illumine son visage, ses cheveux noirs virevoltent avec le vent et sa robe d'été ne laisse pas les hommes indifférents. Franchement, je ne m'étais pas rendu compte de sa beauté jusqu'à présent. Katia s'intègre bien dans ma bande d' amis. Basile, un pote, trouve charmante cette pseudo cousine et me demande lors d'une sortie en boîte s'il peut la draguer … pas d'objection Katia est célibataire. Je les regarde danser, Basile se frotte à elle et une parade de séduction commence. Curieusement, là, cela m'amuse moins… Je me propulse vers eux sans m'en rendre compte et je dis à Katia qu'il faut partir parce que je suis crevé (soi-disant).