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Bien sûr que la culture dans laquelle nous sommes nés, celle qui a bercé notre enfance et qui nous a donné nos racines fait indéniablement partie de nous, de notre manière d'être, d'agir et de penser. C'est cette période et sc savoir qui guidera notre vie. Double culture identité program. On le voit donc, la double culture possède de très nombreux avantages et permet souvent à l'individu de s'épanouir. On aurait pu également évoquer cette problématique sur l'angle du métissage, aussi bien pour les personnes moitié blanche, moitié noir, que pour les personnes moitié européen, moitié japonais qui se nomment les Hafu. On aurait pu déterminer qu'en fonction des cultures, la perception de ce métissage n'est pas la même, et que pour ces personnes plus que pour les autres la question identitaire se révèle être un vrai problème. Souvent rejeté par les uns ou les autres, ils ont souvent des difficultés à trouver leur place dans la société. Mais ceci pourrait faire l'objet d'un prochain sujet Commentaire chapitre xviii candide - voltaire 1943 mots | 8 pages 17), Candide et Cacambo découvrent un univers fabuleux qui pourrait bien être « le meilleur des mondes ».
Également, assimiler les différents codes établis dans les différents pays peut être problématique, comme par exemple le vouvoiement qui n'existe pas dans tous les pays. Enfin, le fait de pouvoir jouir d'une culture diversifiée rend difficile les notions de choix culturels, à savoir qu'il est souvent difficile de s'intégrer parfaitement dans une société dont on ne partage pas tous les codes. Car oui notre enfance règle bien souvent notre ligne de conduite. En librairie: "L’identité en question(s) Qu’est-ce qui fait peuple ? Le sujet juif" - Tribune Juive. Ce que l'on ne connaît pas ne nous manque pas. A l'inverse, dès que l'on a acquis de nouvelles habitudes, elles viennent s'ajouter aux précédentes et permettent donc un épanouissement de l'individu. De là il est facile de conclure qu'un individu sera beaucoup plus à même de s'adapter à de nouvelles situations et d'affronter la vie avec beaucoup moins d'angoisse. Avoir une plus grande liberté d'esprit, avoir une tolérance envers les gens beaucoup plus large et accepter les différences seront les marqueurs principaux de ces personnes ayant une double culture.
Elie, Nadir et Moïsette sont des enfants d'immigrés. Ils racontent comment ils perçoivent leur intégration dans la société française. Dans un appartement du 11ème arrondissement, près du métro Voltaire, Elie, aîné d'une famille d'enfant d'immigrés brazzavillois, vit avec sa fratrie. Le jeune de 27 ans est à la fois enfant d'immigré et enfant immigré lui-même. « Je suis né au Congo, je suis arrivé en France à quatre ans, avec ma mère, avant tout pour des raisons de santé, même si maman voulait déjà venir (…). Livre : Double culture et identité, Portugais et Luso-Français, écrit par Teresa Pires Carreira et Maria-Alice Tomé - L'Harmattan. » Une fois arrivé en France, il grandit à Maux jusqu'à ses dix ans. « Je sais que je suis d'origine congolaise, mais je suis avant tout français. Même si ma mère m'a élevé à l'africaine et que la musique et la danse du pays on fait partie de mon éducation… » « Si on me le demande, je n'ai pas le réflexe de dire que je suis française », explique Moïsette, sa petite sœur de 20 ans. « Je dis plutôt que je suis congolaise mais que j'ai grandi en France. Je n'ai jamais mis les pieds au Congo.
Cette année 2005 est ma treizième année passée en France. Ce qui représente la moitié de mon existence. J'ai grandit et je suis allé à l'école au Maroc. Au Maroc puis en France, j'ai appris certaines valeurs culturelles et citoyennes... Aujourd'hui, j'essai de faire un bilan. Je suis fier de mes origines et de ma culture bérbère, mais aussi très respectueux des lois et valeurs républicaines de ma terre d'accueuil. Cette "double- culture" constitue forcément une richesse sur le plan personnel mais j'estime et je constate qu'elle me déssert. En France, j'ai l'impression que l'on me verra et considérera jamais comme un français à part entière. De retour dans mon pays d'origine, chaque été le scénario inverse se produit toujours. Double culture identité mask. Pour les marocains, je suis un français sauf dans mon village natal où tout les habitants me connaîssent. L'été dernier, je suis parti à Marrakech lors d'un voyage organisé dont la majorité sont des français. Il se trouve que je suis passé inaperçu au milieu de tous ces touristes à ma grande surprise.