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Jusqu'au XIXe siècle, pour guérir, il fallait souffrir car l'anesthésie n'existait pas. Le premier anesthésique a été découvert un peu par hasard, loin des dispensaires. Comment le gaz hilarant est-il devenu un anesthésique? — Minute Docteur Aux États-Unis, au XIXe siècle, pour amuser la galerie, des volontaires inhalaient du protoxyde d'azote. Le gaz les plongeait dans un état d'ébriété. Un gaz qui fait rire et qui endort Un soir de décembre 1844, l'un des volontaires se blesse, il est en sang. Pourtant il n'a aucune douleur et rit beaucoup... À ses côtés, Horace Wells, dentiste, se dit alors qu'il pourrait utiliser ce gaz pour soigner ses patients sans souffrance. Ni une, ni deux, il devient son propre cobaye. Après avoir inhalé le gaz, Horace Wells se fait arracher une molaire. Les différents types d'anesthésies - Service d'anesthésiologie - CHUV. À haute dose, ce gaz endort. Plongé dans les bras de Morphée, il ne sent absolument rien. 1846: première opération sous anesthésie générale Pour présenter sa découverte, le dentiste opère un patient devant une assemblée mais là c'est le drame.
Le système d'évacuation des GAR constitue une première ligne de défense contre l'exposition; toutefois, un système de chauffage, de ventilation et de conditionnement d'air (CVCA) adéquatement conçu peut également contribuer à la dilution et à l'élimination des GAR non recueillis par le système d'évacuation ou de ceux qui fuient des composants du matériel d'anesthésie, ou encore en raison de piètres pratiques de travail. Songer à utiliser un appareil de surveillance en continu des gaz dans les voies aériennes qui est branché au circuit anesthésique pour déterminer les concentrations d'agents anesthésiques dans les voies respiratoires du malade. Des programmes efficaces d'entretien et d'inspection du système d'évacuation des GAR, des appareils d'anesthésie et du système de ventilation devraient être élaborés et mis en application. Anesthésie au gaz quebec. Les systèmes des gaz anesthésiques résiduels, les appareils d'anesthésie et les respirateurs doivent faire l'objet d'une surveillance adéquate et être inspectés quotidiennement pour s'assurer de l'absence de fuites.
Le système de récupération doit être indépendant du système principal de ventilation de l'hôpital. En présence d'un « Code ROUGE », le système principal de ventilation de l'hôpital est arrêté pour réduire la propagation éventuelle d'un incendie, mais le système de récupération des GAR doit être maintenu en fonction. Anesthésie générale : Injection ou gaz, peut-on choisir ?. Si ce dernier est arrêté, la décision d'utiliser un agent anesthésique intraveineux doit être examinée et les gaz anesthésiques doivent être coupés si cela ne présente pas de danger clinique pour le malade. Songer à utiliser une bouteille de récupération des GAR que l'on peut fixer à l'appareil générant les gaz anesthésiques avant de recourir à un système de récupération. Les agents anesthésiques (sauf l'oxyde de diazote) seront ainsi recueillis. Cette technologie limite les émanations dans l'atmosphère en piégeant les gaz anesthésiques et en les recyclant. Utilisation d'équipement adéquatement conçu – Par exemple, un masque devrait être doté d'une gaine suffisamment large pour permettre de recueillir les gaz expirés par la bouche du patient.
Utilisation d'équipement adéquat pour minimiser les fuites pendant le remplissage initial ou les remplissages ultérieurs d'un vaporisateur – Il y a un risque de fuite pendant le remplissage initial ou les remplissages ultérieurs d'un vaporisateur. Dans certains cas, l'emploi d'une hotte de ventilation aspirant à la source, d'un carter de ventilation ou d'un système de récupération à la source des gaz est préférable. Il faut bien suivre les directives d'utilisation et les consignes de sécurité du fabricant pour chaque type d'équipement. Anesthésie au gaz le. Il est important de savoir que les hottes de laboratoire portables où les gaz traversent un filtre à particules à haute efficacité (HEPA) ou un équivalent ne suffisent pas. Tous les gaz et toutes les vapeurs doivent être récupérés et évacués à l'extérieur du bâtiment. Pratiques de travail Des pratiques de travail adéquates sont vitales si l'on veut réduire l'exposition du personnel soignant aux GAR. Parmi les techniques d'anesthésie fautives, on compte: le choix, l'ajustement ou le positionnement inadéquat du masque, le gonflement insuffisant du ballonnet du tube trachéal ou du masque laryngé, le mauvais branchement des tubes et raccords de l'appareil d'anesthésie, l'administration de gaz anesthésiques avant la mise en marche du système de récupération des GAR, et l'omission de couper l'alimentation en gaz après avoir retiré le masque du patient, ou le retrait hâtif du masque avant la vidange du système.