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1954, Paris. Âgé de 18 ans, Yves Saint Laurent s'installe dans la capitale. Le jeune homme a pour objectif de mettre le pantalon parmi les "Must Have" des vestiaires féminins. La femme travaillant de plus en plus dans l'industrie et les services, Yves Saint Laurent s'engage à les accompagner dans leur nouvelle réalité, en démocratisant l'usage du pantalon chez les femmes. Comme Coco Chanel avant lui, Yves Saint Laurent est convaincu qu'une femme active doit vêtir des vêtements pratiques et confortables. Il invente donc le premier smoking adapté à la morphologie de la femme: le tailleur. 1968, suite à ce fameux mois de mai, le pantalon est enfin autorisé au sein de nos écoles et tribunaux français. Et Dieu créa la femme - DMM. 4 ans plus tard, il sera vendu dans l'hexagone jusqu'à 12 millions de pantalons pour femme (source: INA). Côté professionnel, certains milieux affichent un conservatisme vestimentaire digne de l'obscurantisme. Si à l'Assemblée certaines députées voient leurs accès refusé dans les années 70; Air France, la tête un peu dans les nuages, prend enfin connaissance de l'invention des pantalons en 2005.
Vadim, lui, réécrit complètement son film dans les années 80, pour en tourner un remake américain mettant en scène Rebecca de Mornay et Frank Langella.
» Cette fameuse phrase clichée… Drôle de manière d'aborder quelqu'un dans la rue. Un sifflotement, un regard imposant. Une situation inconfortable, une peur dans une ruelle. Depuis la nuit des temps le sexe « faible » comme certains aiment le rappeler semble être la cause des maux de ce monde. Dans la Bible avec Eve, Hélène et la guerre de Troie, l'idéogramme chinois voulant dire femme, associé trois fois représente une querelle ou encore dans le code de Napoléon, la femme qui doit se plier à l'homme, chef de famille… Quelques exemples connus, mais au final tant parmi d'autres… Mais pourquoi cette image dégradante, rappelant sans cesse que la femme n'est pas l'égale de l'homme? Tant de questions pour si peu de réponses… Pourtant les femmes continuent d'être harcelées et persécutées. Et dieu créa la femme. Un cliché, en êtes-vous sûr? Aujourd'hui le harcèlement ne s'arrête pas à une agression sexuelle. Détrompez-vous! Les commentaires blessants, pervers ou menaçants. Le cyber contrôle, cette drôle de façon de connaitre les faits et gestes de sa conjointe.
A travers le maquillage et les crèmes, à travers l'affirmation de soi, le fait de prendre soin de soi, aussi. Helena Rubinstein a conscience du rôle qu'elle joue, elle se sait singulière dans son siècle, mais n'est pas la seule. Il y a Chanel ou Elizabeth Arden. Mode et dieu créa la femme film. Si elles savent ce que les femmes leur doivent, elles ne sont pas des féministes acharnées. Vous avez suivi l'émancipation des femmes sur trois continents (Australie, Amérique, Europe) au début du XXe siècle, quelle est la perception de ces femmes, diffère-t-elle? C'est peu ou prou la même chose, il y a une immense volonté d'émancipation avec le droit de vote, et ces bataillons de jeunes femmes prêts à travailler. En Angleterre, les différences de classe sont plus marquées, mais les femmes de la haute société, à la fin de l'ère victorienne, aspirent à plus de modernité. Les Parisiennes sont prêtes au maquillage. Aux Etats-Unis, l'héroïne, c'est la Gibson Girl, immortalisée par Charles Dana, prototype de la bonne copine sportive, camarade des hommes qui peut faire du vélo, jouer au tennis, malgré ses jupes longues Il y a une filiation entre ces femmes qui font des bains de mer, du sport, et les "flappers", sauterelles d'après-guerre qui découvrent la libido, Freud et le maquillage.
La mode n'est pas que des morceaux de tissus et de fil. Si s'habiller est une nécessité pour protéger son corps du climat qui nous entoure, elle sert aussi à montrer notre appartenance social, ethnique (même si avec la mondialisation certaines habitude vestimentaire tendent à disparaître) mais surtout à pouvoir observer l'évolution de la société: économie, coutumes, mode de vie et aussi différencier les mouvements culturels. La société change, le rôle de la femme aussi.
12. Histoire de la Mode : le Bikini, de son interdiction à sa consécration. 50 € Disponible en stock Nourrie aux plus hautes références, mariant une grande érudition à un grand bonheur d'expression qui nous la rend accessible, l'auteur nous promène du jardin d'Eden où Dieu "jeune ensemble qu'éternel", comme disait Péguy se promenait à la brise du soir en compagnie de ses enfants émerveillés jusqu'à la déchéance actuelle et aux germes d'un possible renouveau. Jacques Trémolet de Villers (Extrait de la préface) A ceux qui croient qu'être née d'une femme est une limite ou un déterminisme, aux spéculateurs de la pensée proclamant qu'on le devient, qu'il faut nous libérer de la toile des siècles d'un conditionnement tissé par un patriarcat jaloux de ses prérogatives sociales, politiques, culturelles, Et Dieu créa la femme, nous guide à la source d'une féminité dépouillée des illusions qui la corrompent. A sa genèse. Véronique Lévy (extrait de la postface) Maryvonne Gasse, journaliste, collabore à plusieurs revues chrétiennes.
Cette auto a été présentée au Concours d'Elegance à Pebble Beach en Californie [ 4]. BMW 507 d' Elvis Presley, au Musée BMW de Munich Elle apparaît dans l'un des trois films de la trilogie Fantômas d' André Hunebelle, conduite par les acteurs Jean Marais et Louis de Funès [ 5]. La légende raconte que le modèle utilisé pour le film était la voiture personnelle de Jean Marais, grand amateur de voitures de sport, et de BMW en particulier. Une version unique de BMW 3200 Michelotti Vignale (de) est conçue par le designer italien Giovanni Michelotti, sur les bases d'un châssis et moteur de BMW 507. La carrosserie est réalisée par le designer Sergio Scaglietti chez Vignale à Turin. Elle est présentée au Salon de l'automobile de Turin de 1959, et a appartenu à plusieurs propriétaires, exposée un temps au musée de l'automobile de Blackhawk près de San Francisco en Californie, avant d'être rachetée par le Musée BMW de Munich. Lieu et chiffres de production [ modifier | modifier le code] La BMW 507 est l'une des plus belles voitures des années 1950, prisée dans les concours d'élégance.
La production commença en novembre 56. Les intentions de Hoffman était de vendre la 507 aux environs de $5000 pour permettre d'écouler 5000 unités par an. Au lieu de cela, les coûts de production se révélèrent bien plus coûteux que prévu amenant le prix de vente à $9000, et même $10. 000. Destinée à relancer l'image sportive de BMW, la 507 conduisit presque la firme à la faillite (les pertes pour 1959 s'élevaient à 15 millions de Deutsch Marks). BMW perdait de l'argent sur chaque exemplaire et la production s'arrêta début 1959. La production totale ne s'éleva qu'à 252 voitures, et deux prototypes. Heureusement pour la survie de la société, Herbert Quandt injecta des fonds, d'une part, et le lancement de nouveaux modèles moins chers (la 700, l'Isetta et finalement la classe 1500), d'autre part, sortirent BMW du rouge. La 507 reste un jalon par son style flamboyant qui attira quelques acheteurs célèbres. Elvis Presley (probablement le plus connu des clients) en acheta une blanche en 1959 pour $3500 (une fortune) pendant son service militaire en Allemagne.
La BMW 507 est un roadster au style fin et pur. Il s'agit d' une des plus belles voitures des années 1950. Plateforme châssis raccourci des BMW 501/502/503 Designer comte Albrecht von Goertz La voiture partage son châssis avec les autres BMW à moteur V8 des années 1950. C'est une voiture de luxe disposant de prestations routières et d'un confort élevés. Son moteur est performant. La BMW 507 a été développée en priorité pour répondre aux besoins du marché nord-américain où elle aurait pu connaître un beau succès. Cependant, son prix de vente élevé l'a condamnée à la confidentialité. En effet, la BMW 507 s'affichait pour le millésime 1956 au prix de 9000 US dollars (116 700 Euros de 2014) tandis qu'une Mercedes 300SL porte-papillon était proposé pour 7300 US dollars (95 000 Euros de 2014) soit près de 20% d'écart. En cette fin des années 1950, BMW connaît de graves difficultés financières. Ainsi, la carrière de la BMW 507 fut courte et sa production faible. Sa remplaçante est la BMW Z8 présentée 40 ans plus tard.
Moteur BMW OVH V8 Elle est motorisée par le moteur BMW OHV V8 des BMW 502 / BMW 503, premier moteur V8 historique de la marque, de 3, 2 Litres de cylindrée, incliné à 90°, à soupapes en tête, poussé à 150 chevaux avec deux carburateurs Zenith double corps, qui lui permet une vitesse maximum de 217 km/h. BMW 507 célèbres [ modifier | modifier le code] De nombreuses stars du spectacle de l'époque en possèdent une, dont Alain Delon, Jean Marais, Toni Sailer, John Surtees, et Elvis Presley (qui en avait acheté une en Allemagne entre 1958 et 1960, durant son service militaire dans le 3e division blindée de la base américaine de Ray Barracks (en) à Friedberg). Il l'offre à l'actrice Ursula Andress quelques années après son retour aux États-Unis, où elle apparaît dans leur film musical commun L'Idole d'Acapulco de Richard Thorpe de 1963 [ 3]. Retrouvée à l'état d'épave dans un hangar de Californie, elle est exposée au musée BMW de Munich depuis 2016, après deux ans de restauration complète en son état d'origine.
Elle n'a été produite qu'à 254 exemplaires de 1956 à 1959 (252 + 2 prototypes). Une des seules réminiscences de cette réussite esthétique reste la ligne générale et les ouies latérales qu'on retrouve sur les Z3 et Z8 modernes. La 507 est une voiture vraiment exceptionnelle. C'est une des plus belles réussites esthétiques et mécaniques de l'industrie automobile et un des plus retentissant echecs. Pour nous joindre Cliquez pour aller vers le plan 17 rue des Rochettes ZI des rochettes 91150 Morigny Champigny Tél: 01-60-80-33-59 Fax: 01-60-80-33-58 Pour demander un renseignement technique, contacter l'atelier: Claude: 06-33-04-80-47