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D'où vient le nom des Epivents? On dit que les vents d'Ouest ramenaient sur cette colline le bruit des équipages normands qui remontaient la Loire pour piller les villages riverains. D'où ce nom, le lieu d'où on épiait les vents pour prévenir le danger. Les moines du monastère qui s'élevait dans le secteur du Petit Saint Jean d'Empiré auraient été les premiers à cultiver la vigne sur le site où elle a disparu. Redescendre par le chemin des Ruettes jusqu'à rejoindre la route de la Roche. Prendre à gauche sur la route de la Roche en direction d'Angers. Sur la gauche, la demeure du Mur Blanc La construction de la demeure du Mur Blanc remonte au XVIIIème siècle. D'importants travaux ont été engagés dans les années 1970, dans le pur style Val de Loire, pour rétablir la demeure au plus près de ses origines: belle façade à ressant, toiture à la Mansart, cheminées. Dépasser la maison du lieu-dit « Les Persillères » et obliquer immédiatement à droite pour emprunter un chemin au long du verger de pommiers.
D'un finistère à l'autre, ce voyage symbolique relie deux hauts lieux sacrés. Depuis leur fondation, au haut Moyen Âge, le Mont-Saint-Michel et Saint-Jacques-de-Compostelle représentent en effet deux des plus importants sanctuaires de pèlerinage de l'Occident chrétien. Dès l'époque médiévale, des pèlerins venus de toutes les provinces d'Europe se côtoyaient sur les grands chemins qui y menaient, multipliant parfois les pèlerinages pour en tirer quelque avantage au jour du Jugement dernier. Aujourd'hui, deux itinéraires, partiellement balisés dans les deux sens, permettent de relier ces deux grands sanctuaires de pèlerinage. Tous deux rejoignent, à Saint-Jean-d'Angély, la voie de Tours, balisée et décrite dans plusieurs guides. Suivi dans un sens par les Bretons souhaitant se rendre au mont de l'Archange, le chemin de l'Ouest (au départ de Saint-Jean-d'Angély) compte 22 étapes (sur 569, 1 km) était aussi celui des pèlerins anglais en route vers Compostelle, qui faisaient étape au Mont-Saint-Michel.
L'Anjou, terre de passage de pèlerins venus de loin pour gagner le Mont-Saint-Michel, a vu également partir de nombreux fidèles vers le sanctuaire normand de l'Archange. Les témoignages, peu nombreux pour l'époque médiévale, sont beaucoup plus abondants au XVIe et au XVIIe siècle. Les historiens mauristes du Mont ont ainsi gardé le souvenir de la visite, en 1578, de l'évêque d'Angers venu en pèlerinage au Mont. Les moines étaient allés l'attendre à la porte de l'abbaye et l'avaient conduit solennellement à l'autel pour célébrer l'office. Aujourd'hui, de nombreux pèlerins empruntent ce chemin pour se rendre au Mont, traversant les paysages vallonnés de l'Anjou et de la Bretagne. Étapes du Chemin des Plantagenêts (au départ d'Aulnay).
Les informations sur les règles de balisage sont ICI et dans la page de la Commission Chemin. Vous pouvez aussi consulter sur votre écran la carte de l'étape, en cliquant sur l'un des triskel en fin de chaque ligne. La carte, fournie par le site Openrunner s'ouvre dans un nouvel onglet. Choisissez alors le format de la carte -- dont IGN -- qui vous convient après avoir cliqué sur les 3 losanges en haut et à droite de la carte. (Pour cette opération, il vous sera demandé de créer un compte chez Openrunner). Différents services vous sont proposés dont l'export de la trace au format GPS. (en bas d'écran). La carte, fournie par le site GPSies s'ouvre dans un nouvel onglet. Vous pouvez choisir le fond de carte. Sur téléphone portable, en cliquant sur le signe vous serez géolocalisé et donc saurez immédiatement votre position par rapport au chemin.
Il est surnommé Plantagenêt à cause du brin de genêt qu'il avait l'habitude de porter à son chapeau. Il était le fils de Foulques V († 1143), comte d' Anjou et roi de Jérusalem, issu d'une vieille famille franque, les Ingelgeriens, et d' Erembourge du Maine († 1126), héritière du Maine. Son fils Henri II d'Angleterre est le fondateur de la dynastie royale anglaise des Plantagenêt. Mariage et accès au pouvoir [ modifier | modifier le code] Le 17 juin 1128, à l'âge de 15 ans, il épouse Mathilde l'Emperesse, fille d' Henri I er d'Angleterre dit Beauclerc, lui-même fils cadet de Guillaume le Conquérant, et veuve d' Henri V du Saint-Empire germanique, en la cathédrale du Mans. Cette union représente un gage de paix entre l' Anjou et la Normandie, qui avaient été en conflit à de nombreuses reprises au cours du XI e siècle. Mathilde l'Emperesse, plus âgée de onze ans, retourne auprès de son père peu de temps après leur mariage, peu heureux. En 1131, elle se réconcilie avec lui, et leur premier enfant, Henri, naît le 5 mars 1133.