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ANNUAIRE FRANÇAIS DE DROIT INTERNATIONAL LXI – 2015 – CNRS Éditions, Paris L'ACTIVITÉ DES JURIDICTIONS PÉNALES INTERNATIONALES (2014-2015) Julian FERNANDEZ (dir. )* avec Muriel UBEBA-SAILLARD et anne-laure CHAUMETTE Une justice pénale internationale a célébré ses soixante-dix ans en 2015, celle qui est née au lendemain de la Seconde Guerre mondiale avec la création des Tribunaux militaires internationaux et qui s'est prolongée avec les juridictions créées par le Conseil de sécurité ou avec les tribunaux dits hybrides. Mais c'est un autre modèle, on le sait, qui tente d'exister et de s'affirmer depuis 1998. Le guide des premières ordonnances pdf 2019. Le Statut de Rome de la Cour pénale internationale (CPI) propose en effet un régime sans privilèges catégoriels, aux compétences matérielles, personnelles et temporelles étendues 1. La période 2014-2015 apparaît encore marquée par ce basculement entre juridictions spécifiques, temporaires, et juridiction générale, permanente. Le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR), par exemple, a cessé définitivement ses activités en décembre 2015.
Le 28 mai 1871, Brest se préparait à accueillir environ 12 000 communard(e)s arrêté(e)s par les troupes versaillaises. Onze navires avaient été prévus pour les recevoir (1). Le Monde Illustre du 15 juillet - Brest pontons prison - Dessin de Grand Trois navires pouvaient transporter 1 200 détenu(e)s chacun: Le Napoléon La Ville de Bordeaux La Ville de Lyon Deux autres pour 1 100 hommes (ou femmes) chacun: L'Aube L'Hermione Le pont du transport La Marne en rade de Brest - L'Illustration du 15 juillet 1871 Enfin, six bâteaux pouvant transporter 1 000 prisonnier(e)s: La Marne L'Austerlitz L'Yonne Le Breslaw Le Duguay-Trouin Le Fontenay Soit une capacité totale de 11 800 détenu(e)s. Le guide des premières ordonnances pdf full. Pour l'occasion « Le Breslaw », « Le Duguay-Trouin », « Le Fontenoy » et la « Ville de Lyon » avient été ramenés de la réserve de Landévennec. Chaque bâtiment est composé d'un équipage comprenant: 1 capitaine de Frégate 1 second-maître commis 1 lieutenant de Vaisseau 1 distributeur 1 médecin-major 2 cuisiniers 1 maître d'équipage 2 agents de service 3 maîtres ou premiers-maîtres 3 seconds-maîtres 6 quartiers-maîtres 30 matelots Soit un équipage de 52 hommes.
Ce manège abrite aujourd'hui l'Académie du spectacle équestre. (Source: l'illustration Européenne: /1870 / no46- p. 365/ Auteur loki11) Sources: Des pontons de France à la Nouvelle-Calédonie avec les insurgés de la Commune, Revue Maritime, n° 140, janvier 1958. Déportés et forçats de la Commune, de Belleville à Nouméa, Roger Perennès, Ouest Éditions, 1991 (épuisé). Les 5 meilleurs livres de pédiatrie - 5livres. « Brest la rouge (1847-1906) » de Georges-Michel Thomas (pages 84 à 91) « Histoire de la Commune de 1871 » de Prosper-Olivier Lissagaray (disponible sur Gallica/BnF) « La véritable histoire de la Commune – L'agonie (Tome III » de Jean-André Faucher Bertrand Tillier, « Le procès des communards », Histoire par l'image url: Notes (1) – Pour d'autres sources il y avait un douzième bâteau-Ponton « le Tilsitt ». Le 31 mai 1871, cinq trains de marchandises formés à Versailles, rive gauche, entrent en gare de Brest. Ils transportent 3 000 condamnés extraits des camps de Satory. Les jours suivants on achemine des convois de 1 200 prisonniers.
Le Napoléon -1850 (Source Wikipédia (navire_de_ligne)) Ils arrivèrent en gare de Brest par wagons plombés de 1. 200 prisonniers. Certains iront à la prison de Pontaniou. Mille deux cents seront dirigés en chaloupe jusqu'au fort de Quélern, à Roscanvel, en presqu'île de Crozon. Les malades furent conduit au lazaret (établissement de mise en quarantaine) de l'Ile Trébéron ou au bâtiment-hopital « La Renommée ». FLASH INFO N°3 – FEU VERT DE LA CNSIS AU SECOND TRAIN DE TEXTES D’APPLICATION DE LA LOI MATRAS | Pompiers.fr. Le lazaret dans l'île de Trébéron - Carte postale ancienne Les autres furent parqués sur les bateaux-pontons mouillant en rade de Brest. La cage de déportés sur l'Iphigénie Prosper-Olivier LISSAGARAY dans son « Histoire de la Commune » raconte: Il y a sur les pontons des tortures réglementaires. Les traditions de Juin 48 et de Décembre 51 furent religieusement suivies en 71. Les prisonniers, parqués à 80 dans des cages faites de madriers et de barreaux de fer, disposées à droite et à gauche des batteries, ne recevaient un filet de lumière que des sabords cloués. Nulle ventilation.