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Allez, il est temps de se quitter après ce Grand Prix d'Espagne bien sympathique. Dans une semaine, c'est le Grand Prix de Monaco que Max Verstappen abordera en leader du championnat du monde, 6 points devant le local Charles Leclerc, qui n'a encore jamais réussi à terminer son GP. Voilà qui promet pas mal. On voit Sergio Pérez souriant mais frustré d'avoir dû sacrifier ses chances à celles de Max Verstappen. Mais bon, ça marche comme ça chez Red Bull. Max Verstappen: « J'ai un le vent dans le dos à un moment, mon DRS ne marchait pas tout le temps, c'était très compliqué. Mais grâce à notre stratégie, on a pu revenir. Je suis très heureux aussi pour "Checo" [Pérez], c'est un beau travail d'équipe. » 16h43: Avec cette quatrième victoire en six Grand Prix, la troisième d'affilée, Max Verstappen prend la tête du championnat du monde, aux dépens d'un Charles Leclerc qui concède aujourd'hui son premier abandon. Tete a aleister de. Red Bull, avec ce doublé, éclipse Ferrari, qui doit se contenter de la 4e place de Carlos Sainz.
Pendant environ un quart d'heure, l'Entente athlétique Grenoble 38 a été le meilleur club de France! Cela grâce à la marcheuse Julia Perrichon, âgée de 21 ans, qui a autrefois détenu le record national des cadettes sur 3 000 m (13'59''85). Une victoire...
La fête était folle à Marseille pour célébrer la deuxième place de Ligue 1 arrachée par l'OM à la dernière minute samedi soir et la qualifcation pour la phase de poules de la Ligue des champions. Avec quelques scènes mémorables. L'OM a fêté ce retour en Ligue des champions comme il se doit. Il y avait sur le pelouse un mélange de folie et de communion dans les rangs marseillais. Certaines grandes soirées olympiennes n'ont pas toujours dégagé ce sentiment d'union, de bonheur et de légèreté. Un scénario inouï, une fin heureuse, et des scènes d'allégresse en pagaille dans un stade Vélodrome plein comme un œuf jusqu'à très tard le soir. Enfants, femmes, familles, amis des joueurs, tous unis et tout sourire sur la pelouse. Tete a aleser à prix mini. Il est 23h, le stade a chaviré quelques minutes plus tôt quand Lens a égalisé face à Monaco. Soudain, Payet crie: "Il y a but de Lens ou pas?! " En tribune présidentielle, les premiers à donner l'alerte sont Dimitri Payet (blessé) et William Saliba (suspendu), les yeux rivés sur le téléphone du défenseur.