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L'intelligence ne peut pas être définie ou mesurée, il n'existe aucun processus universellement accepté qui puisse nous donner une réponse valide. Des chats des rats des éelephants 1. Elle peut uniquement être mesurée depuis le point de vue humain ce qui la rend peu objective. Même comme ça, quand on veut étudier l'intelligence d'un animal, il faut définir et mesurer la vitesse à laquelle un individu résout les problèmes auxquels il est confronté pour survivre dans son environnement naturel et social, comme sont les problèmes d'obtention de la nourriture, d'orientation dans l'espace, création de relations sociales et de communication avec ses congénères. Tout ça dépendra majoritairement de l'environnement de l'animal, ainsi les éthologues définissent l'intelligence comme l'ensemble des compétences spéciales qui ont évolué en réponse à des environnements spécifiques. Les tests conduits dans des laboratoires comportementaux afin de mesurer l'intelligence des animaux sont injustes car dans la grande majorité des cas la capacité perceptive ou cognitive des animaux n'est pas prise en compte.
Mais les vivres se raréfient. Les queues s'allongent devant les commerces de bouche littéralement pris d'assaut. Les prix de la viande, des conserves, du pain et des denrées alimentaires flambent. Au menu en 1870 : chats, chiens, ... et éléphants – Auprès de nos Racines. La famine menace, et la population commence à manger ce qu'elle trouve. On pêche les poissons de la Seine, de la Marne et du lac du bois de Boulogne. Quand les légumes, le beurre, le lait, le fromage et les viandes régulièrement consommées commencèrent à manquer, les Parisiens se tournèrent d'abord vers la viande de cheval en abattant les 70 000 bêtes que comptaient la capitale. La viande de cheval devint rapidement rare et il fallut bientôt mettre les chiens, les chats et les rats au menu. « On vendait du chien pour du mouton et les rats pour des lapereaux, raconte Jean Vitaux, médecin et auteur de plusieurs ouvrages sur la gastronomie, dans son livre Les petits plats de l'Histoire. Selon le cuisinier Thomas Genin, le rat, s'il était désagréable à toucher, donnait une viande d'une formidable qualité, quoique fine et un peu fade, mais parfaite si elle était bien assaisonnée.
Au départ, les boucheries vendent le rat pour du lapereau car il n'y a rien de pire pour un bourgeois que de devoir s'abaisser à manger du rat. Mais les choses vont changer, Thomas Genin, alors cuisinier, raconte que si le rat est disgracieux il donne une viande goûteuse, fine et de grande qualité. Le cuistot a confectionné des terrines de rat avec une farce de chair et de graisse d'âne. A Paris, on dit que c'est délicieux! Finalement, on en vient même à manger les chiens et les chats et des boucheries canines et félines vont ouvrir leurs portes alors que dans les restaurants de luxe, on mange même de l'éléphant… Au jardin d'acclimatation, les éléphants Castor et Pollux ainsi que plusieurs buffles sont abattus d'une part parce qu'il n'y a plus rien pour les nourrir, d'autre part parce qu'ils peuvent servir de nourriture pour plusieurs personnes… Les animaux du zoo de Vincennes sont également passés à la casserole, notamment les ours et les singes. Des chats des rats des éelephants du. En revanche, au Jardin des plantes, on parvient à maintenir les animaux en vie notamment les éléphants, hippopotames, rhinocéros, bisons, buffles, zébus… Le soir du 31 décembre 1870, Bonvalet, le maire du 3ème arrondissement offre un dîner à une vingtaine de personnes au restaurant Noël Peter's tenu par le chef Fraysse.