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(…) Wikipédia » Il est effectivement établi que Michel Vâlsan reçut le rattachement à la Tarîqah 'Alawiyyah « par l'intermédiaire de Frithjof Schuon (cheikh 'Isa Nur ad-Din) ». C'est d'ailleurs sur l' ijâzah qu'il reçut également de lui qu'il s'appuya notamment pour établir une branche de la même Tarîqah quand, en novembre 1950 (et non en 1952), il prit son indépendance d'avec son Cheikh, du vivant de René Guénon et avec son aval. Ce n'est qu'en 1968-1969 (et non avant 1952), c'est-à-dire près d'une vingtaine d'années plus tard 1, que Cheikh Mustaphâ, qui fréquentait effectivement depuis de nombreuses années 2 le site tunisien de Sidi Belahsan, demanda et obtint 3 une ijâzah du Cheikh précédant au Cheikh actuel et qu'il instaura alors régulièrement une partie importante des rites en France, tout en gardant actives certaines pratiques de la branche alawite, notamment la transmission du wird journalier, dans une forme qui perdurera ainsi (soit pendant environ 5 ou 6 ans), jusqu'à sa mort, survenue en novembre 1974.
Iyed Dahmani: « Mustapha Ben Jaâfar est politiquement mort » {legende_image} Le député PDP, Iyed Dahmani, a posté, hier soir, un message sur son mur Facebook résumant tout ce qu'un démocrate peut penser de Mustapha Ben Jaâfar, président de l'Assemblée nationale constituante. Pour M. Dahmani, Mustapha Ben Jaâfar est « sous assistance respiratoire d'Ennahdha, mais il est politiquement mort. » Plus tard dans la soirée, il a démenti les propos de Mustapha Ben Jaâfar à la Télévision nationale ( lire notre article à ce sujet), selon lesquels il n'a fait qu'appliquer la loi et accuse le bloc démocratique de tromper l'opinion publique. Pour Iyed Dahmani, c'est M. Mustapha zamani est il mort du. Ben Jaâfar qui n'a pas respecté la réglementation et de lui rappeler l'article 117 selon lequel le ministre doit répondre aux questions des députés une à une et non comme cela est actuellement pratiqué avec un ministre qui fait un long speech au début et un long speech à la fin après que les députés eurent posé leurs questions en vrac.
M. Dahmani fait remarquer qu'avec cette méthode, on ne sait plus à quelle question a répondu le ministre et il s'avère à la fin qu'il n'a répondu à aucune d'entre elles. En milieu de journée, hier, le même Iyed Dahmani a accusé Mustapha Ben Jaâfar d'avoir trahi la révolution et le sang des martyrs. R. B. H.
C 'est le CNDH (Conseil National des Droits de l'Homme) qui a annoncé la triste nouvelle, le 18 novembre dernier. Mustapha Iznasni, mort à 80 ans, était membre du Conseil entre 2007 et 2010. 10 novembre 1938 : Mort de Moustafa Kémal Atatürk - Revue Des Deux Mondes. En plus du milieu des droits de l'homme, c'est tout le monde de la presse qui est endeuillé. Mustapha Iznasni était connu pour avoir dirigé le journal « Al Kifah Al Watani », de 1965 à 1967, avant d'officier à « Al Alam » et de diriger « Al Maghrib ». Par le passé, il avait également officié à l'agence Maghreb Arabe Press, avant de s'envoler pour Nouakchott où il allait occuper le poste d'attaché de presse et chargé d'affaires à l'Ambassade du Maroc. Mustapha Iznasni a été inhumé dans sa ville natale, Tétouan.
Pour des raisons assez diverses 6 nous nous bornerons pourtant à celles-ci, principalement parce qu'elles concernent la régularité de la situation initiatique de celui qui fut l'un des principaux pionniers du développement islamique de l'œuvre de René Guénon en Occident. Nous tenons à ne pas faire des amalgames qui n'auraient pas lieu d'être (par exemple entre certains éléments du texte qui est le sujet des présentes remarques et d'autres affirmations, car nous avons la conviction que l'auteur de la notice biographie n'a probablement pas agi avec malveillance). Il nous suffira d'insister ici sur le fait que la période de près de vingt ans qui s'est écoulée, de 1950/51 à 1968/69, respectivement entre la prise d'indépendance de Michel Vâlsan d'avec Frithjof Schuon et l'obtention de l' ijâzah de Tunis, réduit à néant l'hypothèse, émise par des personnes certainement plus ignorantes que mal intentionnées, selon laquelle Michel Vâlsan serait allé en ce sens dès 1950-52 pour compenser ou couvrir une prétendue insuffisance qu'il aurait constatée dans l' ijâzah de la Tarîqah 'Alawyah qui lui avait été transmise.
Si l'on peut dire que Cheikh Mustaphâ pratiqua effectivement dans sa t arîqah française « des rites soufis de la zaouïa Châdhiliyya de Tunis «, c'est bien à partir de 1968-69 qu'il faut le comprendre, date de l'obtention de l'ijâzah correspondante 4, et non pas à partir de 1952, date « parasite » dont nous ne voyons décidément pas à quoi elle correspond de cohérent. On ne comprend d'ailleurs pas bien non plus comment il aurait pu pratiquer et faire pratiquer régulièrement les « rites soufis » en question sans disposer d'une ijâzah l'autorisant à le faire, même en ayant assisté à leur déroulement à Tunis depuis plusieurs années. Chacun connaît normalement, s'il s'intéresse avec suffisamment de sérieux et de scrupule à ces questions pour pouvoir s'exprimer sur autrui publiquement de manière nominale, une règle somme toute assez simple à comprendre: l'ancienneté en elle-même ne confère aucunement l'autorisation de pratiquer régulièrement quelque rite ou fonction initiatique que ce soit. LES RANDONNEURS VERTS CAUCHOIS :: MUSTAPHA est MORT !. Penser ou laisser penser que quelqu'un d'honnête et de raisonnable aurait pratiqué autrement constitue ainsi au minimum et suivant l'intention sous-jacente un colportage vide de sens et une évidente impolitesse ou relève de la pure médisance 5.