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366 mots 2 pages La source tombait du rocher Goutte à goutte à la mer affreuse. L'Océan, fatal au nocher, Lui dit: «Que me veux-tu, pleureuse? Je suis la tempête et l'effroi; Je finis où le ciel commence. Est-ce que j'ai besoin de toi, Petite, moi qui suis l'immense? » La source dit au gouffre amer: Je te donne, sans bruit ni gloire, Ce qui te manque, ô vaste mer! Une goutte d'eau qu'on peut boire. » Avril 1854, En marche Mes deux filles Dans le frais clair-obscur du soir charmant qui tombe, L'une pareille au cygne et l'autre à lacolombe, Belles, et toutes deux joyeuses, ô douceur! Voyez, la grande soeur et la petitesoeur Sont assises au seuil du jardin, et sur elles Un bouquet d'oeillets blancs aux longues tiges frêles, Dans une urne de marbre agité par le vent, Se penche, et les regarde, immobile et vivant, Et frissonne dans l'ombre, et semble, au bord du vase, Un vol de papillons arrêté dansl'extase. juin 1842, Aurore Mes vers fuiraient, doux et frêles Mes vers fuiraient, doux et frêles, Vers votre jardin si beau, Si mes vers avaient des ailes, Des ailes comme l'oiseau.
Araïna ~ S o e u r. e t. c o - f o n d a ~ Messages: 701 Jauge de Magie: 3 Date d'inscription: 26/04/2010 Feuille de personnage Nom, Classe & Age::: Araïna, Soeur écrivaine, 22 ans Style::: varié Sujet: Mes vers fuiraient, doux et freles, Victor Hugo Sam 8 Mai - 10:05 Nom de l'oeuvre: Mes vers fuiraient, doux et freles Sujet: les vers de Victor Hugo Genre: poeme Auteur: Victor Hugo Extrait de(quand c'est le cas): Les Contemplations Ecrit le: mars 18.. Mes vers fuiraient, doux et freles, Vers votre jardin si beau, Si mes vers avaient des ailes, Des ailes comme l'oiseau. Ils voleraient, étincelles, Vers votre foyer qui rit, Si mes vers avaient des ailes, Des ailes comme l'esprit. Près de vous, purs et fideles, Ils accourraient nuit et jours, Si mes vers avaient des ailes, Des ailes comme l'amour. ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ Spoiler:
Toutes Professionnels Avec des vidéosou des photos Écrit par des hommes Écrit par des femmes Terminer Mes vers fuiraient, doux et frêles Mes vers fuiraient, doux et frêles, Vers votre jardin si beau, Si mes vers avaient des ailes, Des ailes comme l'oiseau. Il voleraient, étincelles, Vers votre foyer qui rit, Des ailes comme l'esprit. Près de vous, purs et fidèles, Ils accourraient nuit et jour, Des ailes comme l'amour. Paris, mars 18... Autres oeuvres par Victor Hugo...
Paroles de la chanson Si mes vers avaient des ailes par Reynaldo Hahn Mes vers fuiraient, doux et frêles Vers votre jardin si beau Si mes vers avaient des ailes Comme l'oiseau Ils voleraient, étincelles Vers votre foyer qui rit Comme l'esprit Près de vous, purs et fidèles Ils accourraient, nuit et jour Comme l'amour!
- J'ai ensuite apprécié que les papillons soit comme relié à des cœurs car au vers 12: « Des ailes comme l'amour. » l'auteur nous parle d'amour. - J'ai pour terminer aimais le parchemin et les écritures qui apparaissent en arrière plan, le parchemin rappelant l'esprit dont nous parle Victor Hugo au vers 8: « Des ailes comme l'esprit. » et les écritures rappelant les vers qui font le sujet principale de ce poème. Livre II, L'âme en fleur, Poème V: « Hier au soir »: [pic 2] Hier, le vent du soir, dont le souffle caresse, Nous apportait l'odeur des fleurs qui s'ouvrent tard; La nuit tombait; l'oiseau dormait dans l'ombre épaisse. Le printemps embaumait, moins que votre jeunesse; Les astres rayonnaient, moins que votre regard. Moi, je parlais tout bas. C'est l'heure solennelle Où l'âme aime à chanter son hymne le plus doux. Voyant la nuit si pure, et vous voyant si belle, J'ai dit aux astres d'or: Versez le ciel sur elle! Et j'ai dit à vos yeux: Versez l'amour sur nous! Mai 18... J'ai choisi cette illustration car dans celle-ci nous retrouvons tous les éléments dont nous parle l'auteur à travers le poème: - Tout d'abord au vers 1: « Hier, le vent du soir, dont le souffle caresse, », Victor Hugo nous parle de vent, de souffle, nous pouvons très bien imaginer que l'homme en train d'écrire en ressent étant donné qu'il est dehors.
-Au vers 2: « Nous apportait l'odeur des fleurs qui s'ouvrent tard; », l'auteur nous parle d'une odeur de fleurs, l'on peut imaginé que les fleurs au pied de l'homme sont celles qui dégagent cette odeur. - Au vers 3: « La nuit tombait; l'oiseau dormait dans l'ombre épaisse. », l'auteur nous parle d'un oiseau que l'on retrouve aussi sur l'illustration. - Au vers 4: « Le printemps embaumait, moins que votre jeunesse; », il nous parle de printemps, il est représente par l'arbre qui ne compte plus beaucoup de feuille, Victor Hugo nous évoque ensuite la jeunesse qui est représentée dans cette illustration par l'homme allongé qui ne fait pas très vieux: il a une allure de jeune et n'a aucune barbe. - Vers 6 et 7: « Moi, je parlais tout bas. C'est l'heure solennelle / Où l'âme aime à chanter son hymne le plus doux. », grâce à la harpe situé à droite, l'on peut pensé que l'homme va se mettre à jouer de la musique.