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Lorsqu'ils sont revenus pour sécuriser les lieux, plus nombreux, ils ont pu reconnaître un des agresseurs et l'interpeller. Âgé de 19 ans, le jeune homme a finalement été remis en liberté dans la soirée. « Aucun territoire de l'Essonne n'est épargné par cette violence, qui est quotidienne », note le secrétaire départemental du syndicat Alliance Police Nationale, Claude Carillo, saluant « le professionnalisme et le courage » des fonctionnaires.
Cela permet, potentiellement, une mixité des patrouilles. » Autre raison à ce choix: celle d'une certaine cohérence, d'une « volonté municipale » en lien avec la politique de Ploërmel communauté sur les déplacements doux. Une patrouille de police 2019. Dans une ville en pleine mutation, notamment sur les espaces cyclables, cela permet aussi d'apporter leur regard sur ces espaces matérialisés. Vidéos: en ce moment sur Actu Enfin, ces patrouilles apportent plus de « légitimité » dans le cadre des sessions de sensibilisation à la prévention routière auprès des publics scolaires. Cet article vous a été utile? Sachez que vous pouvez suivre Les Infos du Pays de Ploërmel dans l'espace Mon Actu. En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l'actualité de vos villes et marques favorites.
police / Pixabay INFO ACTU-MAG: Les policiers de la brigade de roulement des Ulis patrouillaient dans un parking souterrain de la ville lorsqu'ils ont été pris pour cible par une quinzaine d'individus. Un policier a été blessé à la main et un individu a été interpellé. Ce samedi soir, aux environs de 23h30, un équipage de police secours affecté au commissariat des Ulis patrouillait dans le parking souterrain de Chantereine, un quartier bien connu pour le trafic de stupéfiants, lorsque les policiers ont fait face à une quinzaine d'individus qui s'étaient regroupés, raconte une source policière. Ces derniers entourent le véhicule et commencent à insulter les quatre policier qui se retrouvent bloquer. "Tuez-les !" : une patrouille de police prise à partie par une trentaine d'individus dans les Yvelines - ladepeche.fr. L'un d'eux sort du véhicule pour tenter de disperser les personnes qui continuent d'insulter les fonctionnaires. Certains d'entre eux vont même jusqu'à donner des coups de poings dans la carrosserie du véhicule. L'un des individus, bien connu des services de police, est alors identifié par le policier qui tente de l'interpeller.
Les délais d'acquisition des deux roues, allongés ces derniers mois, n'auront permis cette acquisition que début avril. Pourquoi une telle alternative aux patrouilles classiques des policiers municipaux? Outre « le meilleur contact » que cela génère avec les Ploërmelais, cela permet de « passer dans de nouveaux endroits » que les patrouilles en voiture ne permettent pas, voire même les patrouilles à pied, à propos de sites trop éloignés. Exemple de ces nouveaux sites de vigilance: la voie verte, ou encore le chemin des hortensias. Complémentarité avec les gendarmes Avantage de ce nouveau mode opératoire: arriver sur des sites où les policiers municipaux ne sont pas forcément attendus. Ainsi, « 2 ou 3 contrôles ont déjà pu être effectués sur des parcs où on ne nous attendait pas », poursuit Patrice Debois. Traduire: des postes de trafics potentiels. Une patrouille de police la. Dans ce cadre, le chef de la police municipale appuie sur la notion de complémentarité avec les services de gendarmerie. « Eux aussi ont des agents en VTT.
« C'est devenu un jeu à Bordeaux de casser du flic » « Nous avons déjà eu trois évènements de ce type dans d'autres quartiers sensibles de l'agglomération bordelaise: l'un jeudi dernier, et deux autres la semaine précédente, contre des patrouilles de la Bac (Brigade anticriminalité) », a-t-on indiqué de même source. « C'est quasiment tous les week-ends: on s'en prend aux policiers, on s'en prend aux pompiers, c'est devenu un jeu à Bordeaux de casser du flic, de casser des pompiers », a réagi Eric Marrocq, secrétaire régional du syndicat Alliance, interrogé par l'AFP. « Quand les policiers passent, ils dérangent des trafics en tous genres », a-t-il ajouté mettant en cause « des individus qui tapent sur les policiers pour faire perdurer le trafic de drogue ». Scout car — Wikipédia. « On les connaît, ils ont déjà eu affaire à la police mais c'est très difficile de les interpeller au moment des violences urbaines. Ils sont très mobiles, souvent cagoulés et nous obligent à intervenir en nombre », a aussi déclaré ce responsable.