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Renée avoue à son beau-fils qu'elle s'ennuie, malgré sa vie luxueuse, ses toilettes, ses diamants et ses multiples amants. Résumé la créé avec. Une certaine complicité semble lier les deux jeunes gens, Renée a trente ans, Maxime, une vingtaine. Ils sont en calèche, beaucoup d'autres voitures attendent que l'embouteillage se dissipe, le tout paris riche est là. Ils arrivent à leur somptueuse demeure, description de cet hôtel particulier très décoré et recouvert de dorures… Le soir, un repas richement servi, Renée se fait belle, en vert, elle fascine les convives avec ses diamants que son mari, Aristide Saccard vient de lui acheter et qui appartenait à son ancienne maîtresse, Laure d'Aurigny. Les convives sont la sœur de Renée, Christine, sa tante Élisabeth, veuve du notaire Aubertot, la sœur de son marie, Sidonie Rougon, Louise, un peu laide et bossue, qui est fiancée à Maxime, des marquises, des barons, des officiels, des entrepreneurs maçons…Toutin-Laroche, conseiller municipal… Le repas est très luxueux, la conversation va bon train sur les travaux de Paris qui percent les grands boulevards.
Mais il affirma que son père se moquait bien de ça! Alors elle lui rendit le bracelet en ajoutant: – Tu passeras chez le bijoutier, tu m'en commanderas un tout pareil! seulement, tu feras remplacer les émeraudes par des saphirs «. La fin du chapitre revient vers le présent de l'action: il est question du mariage de Maxime avec Louise de Mareuil (mariage voulu par Saccard), de l'installation dans l'hôtel particulier au parc Monceau. Cette installation est présentée comme le triomphe de Saccard, mais aussi comme celle de l'empire, le moment même où la curée se déchaîne. Résumé la corée du sud. Le chapitre s'achève logiquement avec la visite de Renée au palais des Tuileries où elle est présentée à l'empereur qui voit en elle « une fleur à cueillir, un mystérieux œillet panaché blanc et noir.
Il y entrait avec une émotion religieuse. Les toilettes ont certainement une odeur propre; la soie, le satin, le velours, les dentelles avaient marié leurs arômes légers à ceux des chevelures et des épaules ambrées; et l'air du salon gardait cette tiédeur odorante, cet encens de la chair et du luxe qui changeait la pièce en une chapelle consacrée à quelque secrète divinité «). Résumé la cure thermale. Louise de Mareuil est aussi considérée comme marquée par la dégénérescence de sa famille: « On disait qu'Hélène de Mareuil était morte dans les débordements les plus honteux. Les plaisirs l'avaient rongée comme un ulcère, sans que son mari s'aperçût de la folie lucide de sa femme qu'il aurait dû faire enfermer dans une maison de santé. Portée dans ces flancs malades, Louise en était sortie le sang pauvre, les membres déviés, le cerveau attaqué, la mémoire déjà pleine d'une vie sale «. Il y a donc dès le chapitre 3 une très forte condamnation morale de la part de Zola: le Second Empire, c'est bien le déchaînement de la cupidité et de tous les autres vices, déchaînement qui porte en lui-même sa punition, l'appauvrissement du sang, la pourriture de la race.
La jeune femme décline son aide et demande à Sidonie la somme de 50 000 francs dont elle a grandement besoin. Cependant, les arrangements de sa belle sœur ne lui convenant pas, Renée renoue avec Aristide pour solder ses dettes. La Curée: intrigues, amours retentissantes et triomphe d'Aristide Aristide souhaite marier Maxime à Louise qui possède une dot confortable. Cependant, Louise surprend Renée et Maxime. Ce dernier, découvrant la liaison de Renée, rompt avec elle sans lui apprendre son prochain mariage motivé par l'argent. Quand son père annonce ses retrouvailles avec Maxime, ce dernier la rejoint. Ils replongent alors à corps perdus dans leurs plaisirs interdits tandis que Saccard et Larsonneau tentent de sauver les apparences. Le résumé de la Curée d'Emile Zola se poursuit. LETTRES & CO: RESUMÉ, ZOLA, LA CURÉE.. Durant un bal costumé à l'hôtel Monceau, un spectacle a lieu en présence du tout Paris. Renée et Maxime y incarnent des rôles très proches de la situation qu'ils vivent. Nombreux sont les intrigues et les potins.
Déjà, ils allaient recevoir un prix de leur complicité. Car l'heure est à la curée, au dépeçage de la République par les comparses de Louis Napoléon Bonaparte. Brodée sur l'une des toilettes de Renée, la curée est l'emblème de cette « époque de folie et de honte ». Zola : La Curée : Chapitre 2 : La contemplation de Paris. Paris, une proie géante converti de dernière heure au coup d'État, Aristide Rougon, qui a pris le nom de Saccard, nom de sac et de corde où l'on entend sonner les écus, participe à la grande chasse impériale après avoir longtemps rongé son frein dans les bureaux de l'Hôtel de Ville. Et c'est avec un enthousiasme de Rastignac crapuleux qu' il s'empare de Paris: du haut de la butte Montmartre, il découpe dans le vif de sa proie géante le tracé des nouvelles artères dont il a surpris les plans: «De sa main tendue, ouverte et tranchante comme un coutelas, il [... ] sépar[e] la ville en quatre parts, crevant Paris d'un bout à l'autre. » C'est que le baron Haussmann, jugeant qu'il était plus facile «d'entamer le pâté par le milieu que par la croûte », a prévu d'éventrer Paris.