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Ses petits seins se remarquent immédiatement car les tétons transpercent le tissus de ses chemisiers ou de ses pulls en permanence. Cela nous obligent tous à "lorgner" dessus ce qui semble la mettre mal à l'aise. Quand elle passe devant nous ou quand on la croise on ne peut s'empêcher de la regarder et de se retourner pour voir ses jambes gainées et ses fesses. L'Histoire Vraie d’une Rencontre dans les Coulisses d’un Restau. Et un jour alors que je la croisais, j'ai remarqué qu'elle portait une jupe beaucoup plus courte que d'habitude, et qu'elle était montée sur des escarpins avec des talons vertigineux. Son chemisier blanc était déboutonné jusqu'au niveau des seins et on voyait parfaitement le soutien gorge blanc en dentelle qui se trouvait en dessous. J'ai suivi "L" du regard mais je lui ai emboîté le pas sans savoir pourquoi. J'ai pu remarquer qu'en marchant sa jupe laissait entrevoir parfois le haut de ses cuisses et surtout je pouvais voir le haut de ses bas noirs tenus par un porte jarretelle noir lui aussi. J'étais subjugué par cette situation et j'ai continué à la suivre sans me faire remarquer jusquà la voir sasseoir à son bureau.
et je suis sorti. En rentrant chez moi ce soir là j'étais encore entrain de penser à "L" quand ma femme est rentrée. Je bandais trop et j'ai attrapé ma femme et pour la première fois j'ai attaché ma femme je ne lui ai pas fait l'amour, mais je l'ai baisée. J'en ai profité pour lui caresser le cul et malgré ses cris et avec du gel j'ai réussi à la sodomiser et à lui faire prendre un peu de plaisir mais pas autant que "L". J'ai déchargé au fond de son cul. Histoire de cul vrai ou faux. Je l'ai détachée et elle m'a demandé de lui expliquer ce qui m'arrivait. Je me suis excusé mais je lui ai dit que j'ai vu qu'elle avait quand même aimé. Elle s'est fâchée mais j'ai réussi à la calmer. En une journée j'ai enculé deux femmes et j'ai pris énormément de plaisir et "L" a joui par le cul et ma femme presque selon ce qu'elle m'a dit après.
Issue: * Your Name: * Your Email: * Cette aventure m'est arrivée il y a de cela 3 ans. J'espère vous relater cette histoire dans l'ordre même si j'ai très envie d'arriver à la fin directement. Je bosse dans une société qui emploie beaucoup de monde. Il y a plusieurs services et nous nous croisons tout les jours sans vraiment nous connaître. Dans le service communication, il y a une femme qui n'avait pas la cinquantaine lors de cette aventure. Bourgeoise bcbg - Chapitre 1 | Histoires de sexe viol, Histoires porno. Elle dirige son service et est reconnue comme très compétente par l'ensemble de la société. C'est une femme très élégante, très à la mode et qui dégage je ne sais quoi de communicatif. Elle est habillée soit en robe soit en jupe mi-longue ou courtes mais toujours très tendances et sexy avec chemisier cintré ou petit pull moulant, soit en pantalon mais même ses pantalons sont ajustés et moulent parfaitement ses fesses. Il faut dire qu'à son âge elle est une très belle femme. enfin moi je la trouve très belle et très sexy. 1m65 56 kg des cheveux longs châtains, des yeux noisettes, des petits seins 90B et un cul rebondi qui donne envie de toucher et parfois d'y mettre une fessée.
j'ai senti la semence monter et j'ai tout lâché au fond de sa chatte et lui disant qu'elle était ma petite pute et elle répondait "oui oui je suis ta pute" je n'en revenais pas. En sortant ma queue je sentais que j'avais encore du sperme et je l'ai attrapée par les cheveux et je l'ai obligée à ouvrir la bouche et j'ai rentré ma queue et j'ai fini de me vider à l'intérieur. Je lui ai dit de tout avaler et de ne rien laisser tomber. Puis je lui ai dit de me nettoyer la queue en léchant, ce qu'elle a fait et j'ai tout filmé. Histoire de cul vrai blog. Je me suis rhabillé pendant qu'elle se redressait et qu'elle remettait de l'ordre dans sa tenue. Ses tétons pointaient toujours et j'ai voulu les pincer. "L" m'a repoussé en me disant de ne plus jamais recommencer sinon elle porterait plainte et en parlerait aux dirigeants. J'ai alors sorti mon téléphone et je lui ai dit que si elle ne voulait pas que je montre tout ça aux collègues, qu'elle devait être gentille et obéir. Je me suis dirigé vers la porte et je me suis retourné en lui disant "demain, je veux une tenue identique mais aucun sous-vêtement.
Je salivais d'excitation et sans y prêter attention, mes mains déboutonnaient déjà son pantalon. J'avais rapidement entre mes mains son énorme sexe, droit comme un « i » et très dur. J'adorais, déjà à l'époque, sucer. C'était, pardon, c'est mon péché mignon. Ce fut donc sans attendre son invitation que je me penchais en avant pour goûter son chibre si gros. Tellement gros que c'était avec difficulté que je l'enfonçais au fond de ma bouche. Après quelques va-et-vient, il s'assit sur un des bancs partageant le vestiaire en deux. Histoire de cul vrai site. À genoux devant lui, je le suçais encore et encore plus profondément, goulument. Je n'avais, à l'époque, jamais sucé une aussi grosse bite. J'en avais plein la bouche et j'adorais ça, mais je ne voulais pas le faire jouir avant de la sentir dans ma chatte trempée par l'envie. Tout en le regardant je continuais à le sucer pour lui donner l'envie de me prendre… et ce fut rapidement chose faite! Il se leva, je me mis devant lui, en levrette sur un banc, le cul bien tendu, les jambes écartées, la chatte béante.
Kmille | décembre 22, 2021 Catégorie: Histoires Érotiques Je dois débuter cette histoire en vous précisant qu'elle est vraie qu'elle m'est arrivée il y a de cela bientôt 12 ans, j'avais à l'époque 19 ans et j'étais déjà serveuse. Je travaillais alors dans une grande chaine de restauration très connue. Histoire vraie - Histoire Erotique. Pour vous présenter un peu les lieux, le vestiaire, mixte, se trouvait à l'étage à côté des toilettes des clients, la porte des toilettes pour homme se trouvant sur la gauche de l'accès au vestiaire. Bien sûr, l'accès au vestiaire était bloqué par un digicode, mais nous ne le verrouillions jamais, pour la simple raison qu'on oubliait sans cesse le code… C'est donc dans ce cadre que cette histoire m'est arrivée. C'était un mardi, je venais de terminer mon service du midi, après avoir dressé mes tables pour le soir. Je suis montée me changer au vestiaire, pour une fois j'avais terminé avant les autres et je savais que mes collègues avaient encore une bonne heure de travail. Je l'avoue, j'étais très contente de partir avant tout le monde.
D'un coup et sans ménagement il claqua mon cul puis il s'enfonça en moi. Surprise par tant de fougue, je lâchais un gémissement avant de l'encourager à me prendre sauvagement. Ses mains agrippaient mes hanches et il commença à pilonner ma chatte. Sa grosse bite sortait puis s'enfonçait à nouveau en moi, ses va-et-vient tantôt lents tantôt rapides me faisaient perdre la tête. Très vite j'oubliais que j'étais dans les vestiaires de mon boulot, que peut-être un collègue viendrait et nous surprendrait, je gémissais de plus en plus, l'invectivant de continuer encore et encore… Je gémissais de plus en plus fort. À chaque fois qu'il claquait mon cul je gémissais un peu plus et à chaque fois il me défonçait encore un peu plus. Il lâcha ensuite mes hanches et tandis qu'une main venait pétrir mon sein droit, l'autre tirait mes cheveux. Sous l'action de cette tension je me redressai, bouche ouverte, haletante, le cul encre plus cambré. Plus je gémissais plus il se déchainait, plus il claquait mon cul et plus j'adorais ça.