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Musée de l'Aviation En 1909, Louis Blériot s'apprête à traverser la Manche. A RUE, deux frères natifs du canton décident, eux aussi, de se lancer dans une fantastique aventure: VOLER! Après avoir étudié l'histoire d'Otto Lilienthal et celle des frères Wright, Gaston et René Caudron conçoivent un premier modèle. Ils procèdent à différents essais, plus ou moins concluants et connaissent moult péripéties. Grâce à « Luciole », une jument de leur ferme, Gaston et René réussissent leur premier vol en mai 1909. Les années suivantes permettent aux frères Caudron de créer une usine d'aviation à RUE et une école de pilotage au Crotoy. Alors que la Première Guerre Mondiale éclate, Gaston et René Caudron vont accepter d'équiper l'armée française avec leur célèbre « G3 ». En 1915, Gaston décède en essayant un prototype pour l'armée. René Caudron poursuit seul l'aventure, épaulé par quelques associés. En 1939, René est fatigué. Musée baie de somme gite. Il prend sa retraite. Il décède 20 ans plus tard en 1959, soit 50 ans après le premier vol.
L'ESPACE MUSÉOGRAPHIQUE Présente les principales richesses et fragilités du territoire. Comme un explorateur, partez à la découverte de la Baie, des falaises aux dunes du Marquenterre en passant par la vallée de la Somme, en y croquant l'éphémère, et en y observant la vie. Un « carnet de voyage » illustre votre parcours à travers des aquarelles, esquisses ou témoignages muraux.
TARIFS Adulte: 5, 90€ Enfant: 4, 70€ Gratuit pour les moins de 6 ans MOYENS DE PAIEMENT
D'un musée local à une maison de territoire La Maison de la Baie de Somme, située entre Saint-Valery-sur-Somme et le Hourdel, vous propose une immersion au coeur d'un territoire en mouvement. Tel un explorateur, partez à la découverte de la Baie, de ses milieux, son histoire et son devenir... Un voyage initiatique et ludique oscillant entre émerveillement, observation et éducation. "La baie de Somme" de Corot trop chère pour le musée de Picardie. Nos guides nature vous proposent également des sorties en Baie sur différentes thématiques, des ateliers et animations toute l'année…
Les Singapouriens, vrais durs à cuire, restent tels qu'en eux-mêmes, dehors comme dedans. Paradoxe équatorial. Photo ProjectManhattan/wiki Enfin, vivre à Singapour exige de maîtriser le créneau en bataille. Et de fait, pour les Caucasiens qui ont le réflexe pavlovien de s'insérer en marche avant dans la moindre place de parking qui leur cligne de l'œil, c'est un défi. Tous les automatismes du créneau sont à revoir impérativement: un esprit sadique a du concevoir certains parking en fonction de la façon de se garer car dans certains, impossible de sortir de sa place si l'on n'a pas cédé à cette manière nationale de se garer. L'avantage est d'acquérir au moins cette double culture-là et d'éblouir la famille restée au pays l'été en garant de toutes les façons possibles sa voiture.
Une piscine qui donne sur la City et une ambiance toute particulière au bar The Lantern. C'est ici qu'on refait le monde. On sent, à travers des discussions qu'on a avec des Singapouriens, des Chinois, des Indiens, des Anglais, des Américains et… des Français (il y en a 15 000 à Singapour), qu'ici tout est business entre deux drinks. On parle immobilier, marchés, bourse, dollars, euros, closing… L'ambiance est décontractée, mais concentrée sur la réussite. En face, le Marina Bay commence son show laser et vous bombarde de ses rayons verts. La musique monte, on parle de moins en moins de business… Il est l'heure d'aller dîner au Clifford Pier, le restaurant gastro de l'hôtel, sans doute l'un des meilleurs restaurants de la ville, dont la cuisine réinterprète les grands classiques asiatiques. Une bonne nuit de sommeil et, le lendemain, vendredi, le week-end peut commencer avec la visite de la ville, accompagné de votre guide. Quel spectacle étonnant! Des chantiers partout, des gratte-ciel de plus en plus hauts, de plus en plus incroyables (les nouveaux sont presque tous végétalisés), mais aussi un quartier chinois authentique (l'île est majoritairement peuplée de Chinois), un quartier indien et même un quartier arabe et sa mosquée.
La sécurité Il s'agit d'un atout indéniable. A Singapour, la sécurité n'est pas prise à la légère. Dans la ville-Etat, tout est très sécurisé. Vous pourrez laisser vos affaires en terrasse sans crainte d'être volé. La météo Le temps à Singapour s'avère très chaud. Cependant, le pays est aussi connu pour son humidité. La gastronomie Vous trouverez à Singapour de la nourriture asiatique, mais aussi des aliments venus du monde entier. Il y a des restaurants de toutes nationalités (français, américain…). De manière générale, la cuisine singapourienne se révèle une très bonne surprise. Dans de nombreux restaurants de quartier, vous trouverez de la très bonne nourriture ainsi que des menus originaux. Les sorties Les sorties ne manquent pas à Singapour. Il existe de nombreux endroits très agréables où se balader. La ville possède de nombreux espaces verts et jardins botaniques. Il y a également de quoi faire du shopping. La métropole possède de très nombreux commerces, dont des très luxueux. Vous y trouverez également une multitude de cafés, terrasses, bars.
PORTRAIT – Expatriation et exploration pétrolière avec François Borgida, Vice-President New Ventures, Asia-Pacific. François Borgida a intégré le groupe Total, 4ème compagnie pétrolière et gazière mondiale, en 1998. Il est aujourd'hui responsable du business développement pour la région Asie Pacifique de la branche Exploration-Production (E&P). Cette branche est en charge des activités d'exploration, de développement et de production de pétrole et de gaz naturel dans plus de 50 pays. Récit d'une carrière internationale au sein de ce grand groupe pétrolier. PORTRAIT- le parcours exemplaire de Felicia Soh, ré-inventeuse de la crème Simon. Derrière le renouveau de la marque française crème Simon qui, créée en 1860, était tombée dans l'oubli, se cache une entrepreneuse de 38 ans, talentueuse et déterminée. Issue d'un milieu où les jeunes femmes ne font pas d'études, Felicia Soh est parvenue, grâce à sa ténacité et aux aides du gouvernement, à réaliser un parcours à l'étranger qui lui a ouvert les portes d'une brillante carrière d'entrepreneur.
La République de Singapour est une cité-État d'Asie du Sud-Est. Population. 5, 6 millions d'habitants. Superficie. 719, 1 km², soit l'équivalent de Paris et sa petite couronne. Langues. Anglais, mandarin, malais et tamoul. Religions. Bouddhisme (43%), christianisme (20%), taoïsme (14, 4%), islam (0, 5%), autres religions (0, 3%), sans religion (21, 8%). Histoire de Singapour XIV e siècle. Singapura « la cité du lion » est fondé par un prince de Sumatra. 1819. Sir Thomas Stamford Raffles établit un comptoir britannique. 1867. Singapour devient colonie de la couronne britannique. 1959. Singapour devient un gouvernement autonome, Lee Kuan Yew est élu premier ministre. 1960. Politique d'industrialisation. 1965. Singapour devient une République indépendante et se sépare de la Malaisie. 2015. Célébration du cinquantenaire de Singapour. 2017. Singapour est la première place financière d'Asie du Sud-Est.
Singapour – une ville modèle Wow, wow et wow! Je suis agréablement surpris de cette ville dAsie qui se démarque positivement de ce que j'ai visité jusqu'à présent. Habitué au bruit, à la pollution et à la rareté des espaces vert…. Ici c'est tout le contraire, même Bangkok est largement surpassé! Voici quelques constats personnels après quelques jours dans la ville « Lion » comme on l'appelle… Propreté Dès mon arrivée à l'aéroport, on constate que tout est bien entretenu et très propre…. Mais c'est surtout dans la ville que j'ai été surpris! Je trouvais que Bangkok était propre…. c'était avant de marcher dans les rues de Singapour Imaginez ici en Asie, enfin des trottoirs larges et droits ( voir blogue passé à ce sujet, complètement différent) et surtout sans aucun déchets ou mégots par terre. Il y a des poubelles souvent aux 4 coins des rues. Les gens sont disciplinés, rien ne traine, il est interdit de jeter quoi que ce soit par terre et même de cracher (il y a des amendes coûteuses pour quiconque contrevient aux règles).
» Efficace, fluide, propre seraient les trois qualificatifs premiers pour évoquer Singapour. Discipline, obéissance et soumission silencieuse restent les éléments sur lesquels se fonde la réussite de ce système unique de plus en plus remis en question depuis la mort du père fondateur, Lee Kuan Yew. « Personne n'osera critiquer ouvertement celui qui est considéré comme l'architecte du miracle singapourien », explique un professeur d'histoire qui a souhaité préserver son anonymat. « La version officielle de l'histoire veut qu'avant Lee Kuan Yew Singapour n'ait été qu'un marécage et qu'il l'ait métamorphosé en un État riche et prospère ». Pour ce professeur d'histoire, matière très négligée dans les cursus scolaires, il est clair que cette ville, plus petite et discrète dans le passé, a toujours joué un rôle majeur dans le commerce interasiatique, reliant les mondes indien, malais et chinois. Bien avant l'arrivée des Britanniques en 1826, les commerçants portugais, néerlandais et français faisaient escale à la pointe de la péninsule malaise.