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Essai d'échauffement: estimation des gradients (échauffements) des enroulements en régime établi. 8 Géométrie des enroulements FRA (Analyse de Réponse en Fréquence): permet d'avoir une empreinte (signature) de la géométrie des enroulements pour suivi du transformateur. Détection possible de déformation ou déplacement des enroulements à l'aide d'une comparaison à une mesure antérieure, d'un transformateur frère ou bien entre phase. Transformateur à changement de prise en charge. Essai en court-circuit: mesure de l'impédance/la tension de court-circuit (Ucc/Zcc), en basse tension ou non, permettant à l'exploitant de régler les valeurs de ses protections et/ou de détecter d'éventuelles déformations des bobinages ou problèmes de conception en comparant la valeur à celle plaquée. Essais aux chocs: permet de connaitre la propagation des ondes des chocs au sein des enroulements. 9 Isolation entre spires Tension induite: vérification de la tenue diélectrique de l'isolation entre spires au sein de tous les enroulements. Essais aux chocs: vérification de la tenue diélectrique de l'isolation entre spires aux chocs de foudre et de manœuvre.
Cela concerne essentiellement les transformateurs de puissance (la limite est floue, mais en tout cas >5MVA) munis d'un commutateur hors tension. Quelques explications dans un ouvrage édité par la CEM en 1982 "Le Transformateur de puissance" Bobinage prises Le problème consiste à éviter au maximum les dissymétries, les déséquilibres en cas de court-cicuit etc. Cela n'a habituellement pas cours pour les transfos de distribution: le bobinage est généralement en longues couches(tr immergés) ou par des méthodes créant des "mini-galettes" dans un bobinage continu* (tr secs enrobés). Pour ces transfos, il faut éviter un trop grand nombre de sorties intermédiaires (et donc de prises) qui fragilisent le bobinage. Par expérience, cinq prises est la maximum raisonnable dans ce cas. Commutateur de réglage transformateur de texte. Cordialement *avec un bobinage enrobé il faut éviter les "longues couches" trop ordonnées qui conduisent à certain endroits à des tensions entre couches beaucoup trop élevées (jusqu'à 3500V pour U1 20 kV) pour un isolant solide.
Le nombre de positions du commutateur rotatif n'est pas lié au nombre de pôles. Commutateur (sélecteur) rotatif, sa bague et son écrou Désignation du commutateur Pour caractériser un commutateur (rotatif, à bascule, etc), on doit donc définir le nombre de pôles (combien de contacts sont basculés simultanément) et le nombre de terminaux (le nombre de positions). Commutateur: pôles et terminaux (positions) Les nombres sont appelés S pour single (1), D pour double (2), 3, 4 etc. En anglais, traduction: commutateur rotatif = rotary switch Exemples de noms de commutateurs: SPST: 1 pôle, 1 terminal (c'est l'interrupteur le plus basique qui soit) 3PDT: 3 pôle, 2 terminaux SP4T: 1 pôle, 4 terminaux Commutateurs: SPST, SPDT, DPDT etc Pour les relais, la même appellation est utilisée. Une même tension de commande (souvent 12V ou 5V) pilote simultanément plusieurs contacts couplés (un relais DPDT peut commuter la phase et le neutre à la fois pour mettre une charge sous tension réseau). Commutateurs de réglage des prises transformateur. On pourrait écrire 2P2T mais l'usage veut qu'on utilise plutôt l'appellation DPDT pour 2 pôles et 2 terminaux.