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Le 13 avril à l'Espace Théâtre Publié le 30 mars 2022 par Maxim Ouellette-Legault Le 13 avril 2022 à 12h30, l'Espace Théâtre de Mont-Laurier présentera Zoé, une pièce de théâtre, en collaboration avec le Centre collégial de Mont-Laurier. Cette pièce de théâtre s'inspire de la grève étudiante qui a eu lieu en 2012, aussi appelée le printemps érable. Olivier Choinière explique qu'il a toujours vu le théâtre comme une sculpture en trois dimensions. L'auteur réfléchit à la scène et choisit la bonne forme pour le contenu et comment il veut le présenter. La pièce sera présentée à Mont-Laurier grâce à Muni Spec, Desjardins et le Centre collégial. Pièce de théâtre thème liberté d'expression. (Photo gracieuseté – Muni Spec Mont-Laurier) L'histoire met en scène une étudiante du nom de Zoé qui a obtenu d'un juge une injonction obligeant ses professeurs à lui enseigner. Son professeur de philosophie, du nom de Luc, est dans l'obligation de donner un cours à Zoé, la seule élève de la classe. Luc décide de ne pas lui donner le même cours de philosophie qu'à l'accoutumée et décide plutôt d'engager avec l'étudiante une conversation philosophique, comme l'on retrouve chez les philosophes de la Grèce antique, Socrate et Platon.
On ne parle pas seulement du monde politique, mais aussi des gilets jaunes, des marginaux ou des hippies. Ce sont des clichés de la société qu'on étire à l'extrême. En fait tout le monde est décalé dans notre société, on ne fait pas attention aux autres et on pense avoir toujours raison. Et pas seulement les politiques. Sauf qu'un politique décalé du vrai monde, c'est aussi la réalité? Mais c'est le cas de toutes les campagnes politiques. Coluche, Desproges, Le Luron l'ont déjà brocardé. Nous, à nos humbles niveaux dans la pièce on fait rire avec des gens déconnectés de la réalité. Vous l'ancien footballeur, comment et pourquoi êtes-vous devenu comédien? Gamin je voulais déjà faire du théâtre. Notre soleil – L’enfer pour la liberté • Le Suricate Magazine. En 2001, alors que je jouais à Chelsea j'ai joué dans un film et après la fin de ma carrière je suis parti un an et demi à Los Angeles pour prendre des cours. Depuis j'ai fait quelques films, mais surtout beaucoup de théâtre. Dans ma vie, j'ai été plus sur scène que sur un terrain de foot. J'ai dû faire 1 200 représentations contre 700 matches.
Hanna Schygulla en moins, Valérie Dréville en plus. Un geste typique du théâtre d'aujourd'hui, donc. Typique de ce théâtre qui veut dépasser le texte et « adapte ». Non pas un roman cette fois: un...... Le théâtre Liberté tisse des liens autour d'un thème - Var-Matin. Lire l'article sur I/O Gazette Image de la critique de Sceneweb lundi 11 novembre 2019 Liberté à Brême, une tragédie criante de vérité Par Christophe Candoni Valérie Dréville incarne impérieusement Geesche, l'héroïne meurtrière et subversive de Liberté à Brême de Rainer Werner Fassbinder dans une mise en scène un peu trop dessinée à gros traits.... Lire l'article sur Sceneweb
Je n'ai plus envie de travailler pour ne pas être payé. Un autre ami très cher m'a dit: tout travail mérite salaire. C'est vrai... Alors je devrais déjà être riche:)... lol. Le festival c'est un an de travail pour 3 à 15 jours d'effervescence. Et même si cette année certains ont eu des cachets, ce n'est rien par rapport à tout le temps investi. Pièce de théâtre thème liberté +. Je ne peux plus m'investir dans un projet qui prend mon temps, mon argent et mon énergie pour 3 à 15 jours par an, pour une rémunération d'environ 110 euros au total. Je ne compte pas l'argent que j'avance ou que je donne. Cette situation est positive d'un côté: hé oui on commence à être payé. Mais c'est un piège. Je ne tomberai pas encore dedans. J'ai 27 ans et je flippe grave de me retrouver au même point dans 5 ans, de vivoter à peine et de tenir à bout de bras ce projet et d'autres. Non. Je vais commencer à être un peu égoïste pour faire mieux, faire bien, faire professionnel. Voilà un peu pourquoi j'ai décidé de ne pas reconduire le TEL en 2017.
Le spectateur lambda comprendra aisément que vu le contexte et l'objectif poursuivi, ce n'est pas tant la façon dont le récit est livré que le contenu qui est intéressant (dans le cas contraire, nous l'invitons à aller voir un autre style de pièces). Un bord en scène est prévu après chaque représentation, l'occasion d'en apprendre davantage sur un sujet qui est au cœur de notre société.
Comme une purge libératoire, Fran rédige pas moins de 800 pages dans lesquelles il raconte son périple depuis la Guinée jusqu'en Belgique. Parvenu à éditer son histoire grâce à la solidarité citoyenne, il la raconte aujourd'hui avec l'aide de Sandra Raco à la mise en scène. Fran choisit le seul-en-scène pour livrer les étapes chronologiques de son voyage. La raison de son départ? La liberté. Parce que quand on est un homme d'Afrique noire issu d'une famille pauvre, deux voies s'offrent à nous: « soit celle de la souffrance à la recherche du bonheur de sa personne et de toute sa famille, soit être un parasite de la société pour toujours. Pièces de théâtre pour adultes par Jean-Pierre Duru. » Refusant d'être esclave de la pauvreté, il se jette à corps perdu dans la première option, sans se douter que l'esclavagisme prend de multiples formes. Fran. Oui, chaque paragraphe de cette critique débute par ce prénom. Parce qu'au-delà d'être un migrant, un esclave, « la propriété privée d'un passeur », un demandeur d'asile, un sans-abri et aujourd'hui un réfugié politique, c'est surtout un être humain, un homme dont l'identité a été longtemps arrachée.