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Suggestions de diaporamas McQueen, un acteur passionné de vitesse C'est à l'occasion des 40 ans de la sortie du film "Le Mans " qu'YB Editions sort ce livre-hommage, qui offre un regard nouveau sur une icône absolue du cinéma américain: Steve McQueen. Avant de connaître la gloire, l'acteur alors en devenir participait déjà à des courses de motos amateurs. Il les gagnait souvent et cela lui permettait d'arrondir ses fins de mois et de payer ses cours à l'Actor's Studio. C'est avec ses premiers cachets qu'il put commencer à s'acheter les motos et voitures de courses qu'il sélectionnait avec la plus grande exigence. La performance primait toujours sur l'ostentatoire dans ses choix. Le cinéma au service de l'automobile Sa notoriété établie, il peut intégrer cette passion dans les films où il joue. Dans l'inégalé "Bullitt", de Peter Yates (voir le teaser), on le voit ainsi conduire avec brio une Ford Mustang. "Je me demande si je suis un acteur qui fait la course ou un pilote qui aime jouer la comédie... " Dans le film "L'Affaire Thomas Crown", il impose ses choix automobiles à la production et se retrouve à profiter des joies d'un coupé Rolls-Royce Silver Shadow ou d'une buggy Manx à moteur Curvair.
Cet article date de plus de six ans. Publié le 26/03/2016 21:00 Durée de la vidéo: 6 min. FRANCE 2 Article rédigé par Un documentaire revient sur la passion de l'acteur américain pour les bolides. Toute sa vie, il n'en aura fait qu'à sa tête. Rebelle dans l'âme, Steve McQueen était une véritable icône des années 1960 et 70. Célèbre pour ses films d'action, il était à l'époque l'acteur le mieux payé au monde, et un homme qui n'a jamais renoncé à ses convictions et ses passions. Car le moteur de McQueen, c'est la course. Se dépasser à moto puis en auto, et même participer à des compétitions. Une passion qui va vite influer sur ses films: dans La grande évasion, il conçoit les scènes à moto qu'il pilote lui-même, et pour Bullitt, il supervise les cascades dans les rues de San Francisco pour une des descentes les plus célèbres du cinéma. Il réalisera son plus gros défi pour Le Mans, une fiction sur les 24 heures. Une prouesse technique pour mettre en images l'expérience des pilotes. Un tournage très compliqué pour une œuvre devenue culte.
Steve McQueen s'installe au volant. L'acteur démarre, bien décidé à profiter une fois encore des capacités de l'auto. A vive allure, dans les rues désertes à cette heure avancée de la nuit, le voilà fonçant vers Coldwater Canyon, puis revenant par Mulholland Drive. Le Docteur Sand se cramponne à son siège. Il se rend compte qu'il n'a pas à faire à un amateur. Terminant sa boucle, McQueen, toujours sans dire un mot, écrase les freins et stoppe le roadster tout près de sa Ford. …/… Dernières sensations avant de passer à plus sérieux. En effet, Steve McQueen décide alors de s'offrir une nouvelle auto. Pour la première fois de sa vie il achète une voiture neuve. Ce sera une Porsche 356 super speedster. Noire, montée sur des roues Rudge a serrage par moyeu central, comme sur une voiture de course, la décapotable a fière allure. Avec quelques autres, la Jaguar XK 120, la Chevrolet Corvette, ou l'Austin Healey, notamment, la Porsche 356 est l'archétype de la « petite » voiture de sport puissante des années cinquante.