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Vous avez rendez-vous sur les pistes enneigées et vous appréhendez déjà d'avoir la peau qui tiraille et les lèvres sèches. Voici comment garder une peau belle et douce même en haut des sommets. Le froid et le vent assèchent votre peau. Des rougeurs et même des gerçures peuvent apparaître si vous n'en prenez pas soin. Suivez nos conseils pour conserver un joli grain de peau. 1. Hydrater Avec le froid, la peau s'assèche, tiraille et s'irrite. Pour pallier à ce désagrément, la seule solution c'est l'hydratation. Boire beaucoup d'eau en montagne est indispensable. Côté soin, n'hésitez pas à vous tartiner de crème nourrissante. A la sortie de la douche, quand la peau est encore humide, appliquez plusieurs couches épaisses d'un baume à base de beurre de karité pour une absorption optimale. A prendre au ski dans. 2. Eviter les douches et bains chauds Même si cela est très tentant, l'eau chaude n'est pas recommandée pour la peau quand les températures chutent car elle assèche encore plus la peau. Si vous avez envie d'une sensation de chaleur, utilisez une huile de douche et séchez-vous délicatement, en tapotant votre peau avec une serviette.
« Je serai présent aux Mondiaux de 2023. Pour un descendeur, disputer des Mondiaux à la maison est tellement rare qu'on ne peut passer à côté… D'autant plus qu'en 2009 (lors des Mondiaux de Val d'Isère 2009), j'étais dans un fauteuil roulant «, a déclaré celui qui était devenu le 7 février dernier en Chine l'athlète le plus âgé de l'histoire à monter sur un podium olympique, et ce toutes disciplines du ski alpin confondues. A prendre au ski pour. Le mois dernier, de passage dans notre rédaction, il s'interrogeait encore… « Une partie de moi me dit que si j'arrête là-dessus, c'est magnifique, parce que c'est super, que j'arrêterais sur un truc qui est beau et entier (…) Et il y a une autre partie qui me dit: « Pourquoi tu n'essayerais pas de faire ça encore une année, au moins? » Il y a les Championnats du monde en France l'année prochaine, ça peut être un bel objectif aussi. Donc je suis vraiment partagé. C'est du cinquante-cinquante pour savoir ce que je vais faire «, nous avait avoué le natif d'Annecy le mois dernier, de passage dans notre rédaction alors qu'il venait à peine de descendre de l'avion.