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5 Mars 2014 Parole du jour Choisir entre la vie et la mort Moïse disait au peuple d'Israël: " Je te propose aujourd'hui de choisir ou bien la vie et le bonheur, ou bien la mort et le malheur. Écoute les commandements que je te donne aujourd'hui: aimer le Seigneur ton Dieu, marcher dans ses chemins, garder ses ordres, ses commandements et ses décrets. Alors, tu vivras et te multiplieras; le Seigneur ton Dieu te bénira dans le pays dont tu vas prendre possession. Mais si tu détournes ton cœur, si tu n'obéis pas, si tu te laisses entraîner à te prosterner devant d'autres dieux et à les servir, je te le déclare aujourd'hui: certainement vous périrez, vous ne vivrez pas de longs jours sur la terre dont vous allez prendre possession quand vous aurez traversé le Jourdain. Je prends aujourd'hui à témoin contre toi le ciel et la terre: je te propose de choisir entre la vie et la mort, entre la bénédiction et la malédiction. Choisis donc la vie, pour que vous viviez, toi et ta descendance, en aimant le Seigneur ton Dieu, en écoutant sa voix, en vous attachant à lui; c'est là que se trouve la vie, une longue vie sur la terre que le Seigneur a juré de donner à tes pères, Abraham, Isaac et Jacob.
Nous croyons à la réincarnation ou à une autre forme de la continuité de la pensée, et ensuite nous essayons d'établir le rapport entre le connu et l'inconnu, entre te passé et le futur. C'est bien cela que nous faisons, n'est-ce pas, lorsque nous posons des questions sur tes relations entre la vie et la mort Nous voulons savoir comment jeter un pont entre le « vivre » et le « finir ». C'est là notre désir fondamental. Pouvons-nous connaître la « fin », qui est la mort, pendant que nous vivons? Je veux dire que si nous pouvions savoir, pendant que nous vivons, ce qu'est la mort, nous n'aurions pas de problèmes. C'est parce que nous ne pouvons pas entrer en contact avec l'inconnu pendant que nous vivons, que nous en avons peur. Notre lutte consiste à établir un rapport entre nous-mêmes qui sommes le résultat du connu, et l'inconnu que nous appelons mort. Peut-il y avoir une relation entre le passé et quelque chose que l'esprit ne peut pas concevoir et que nous appelons mort? Pourquoi séparons-nous les deux?
Entre la Vie et la Mort Entre la Vie et la Mort, La frontire est si dlicate, Sur mon bras, les veines sont d'or, Elles sont l, elles m'apptent. Un coup de lame un peu trop fort Suffit dterminer mon sort, Une veine sectionne, Et tout est termin. Le temps d'une seconde, Ma vie peut basculer, Une lame bien aiguise, Et je ne suis plus de ce monde. Entre la Vie et la Mort, La frontire est si fragile, Cela parat si facile De se donner la mort; Et pourtant... Pour rejoindre le paradis, Il faut du courage, Mais il en faut encore davantage Pour rester en vie. # Posted on Saturday, 24 January 2009 at 12:19 AM
C'est notre fin que nous redoutons. Nous ne voyons pas que le renouveau créateur et inconnu ne peut se produire qu'en cette fin du « quoi que ce soit » que nous croyons être. Le report quotidien de nos expériences, de nos souvenirs et de nos infortunes, bref tout ce qui vieillit en s'accumulant, doit mourir chaque jour pour que le renouveau puisse être. C'est chaque jour que nous devons mourir. Le neuf ne peut pas être là où est une continuité - le neuf étant le créatif, l'inconnu, l'éternel, Dieu si vous voulez. La personne, l'entité continue qui est à la recherche de l'inconnu, du réel, de l'éternel, ne le trouvera jamais, parce qu'elle ne trouvera que ce qu'elle projette hors d'elle-même, et ce qu'elle projette n'est pas le réel. Ce n'est que lorsque nous finissons, lorsque nous mourons que le réel peut être connu; et celui qui cherche une relation entre la vie et la mort, un pont entre le continu et ce qu'il s'imagine exister au-delà, vit dans un monde fictif, irréel, qui est une projection de lui-même.
Chrétiens dans le monde - Revue N°365 - Juin 1992 L'emploi vit, meurt, naît; il n'y a pas lieu d'en faire un acharnement administratif. Il n'est pas nécessaire de maintenir absolument des secteurs d'activités devenus obsolètes et extrêmement coûteux pour la société. Télécharger une revue gratuitement La revue sera disponible dans votre dossier Téléchargements
Que ces béatitudes selon saint Luc soient l'occasion pour nous d'une conversion réelle. Laçons nos chaussures de randonnée et partons ensemble en maraude pour rencontrer ceux qui nous ferons découvrir le bonheur selon Dieu! L'Église sera alors le porte-lumière du Christ lumière des nations, l'homme des béatitudes qui nous apprend à vivre la vraie vie de l'Évangile. Oui heureux les pauvres car le royaume des cieux est à eux. Dès maintenant!
Et est-il possible, pendant que l'on vit, de mourir, c'est-à-dire de parvenir à sa fin, de n'être rien du tout? Est-il possible, en vivant dans ce monde où tout « devient » de plus en plus (ou « devient » de moins en moins) où tout est un processus d'escalades, de réussites, de succès, est-il possible, dans un tel inonde, de connaître la mort? Est-il possible d'achever chaque souvenir? (Il ne s'agit pas des souvenirs des faits: de l'adresse de votre domicile, etc. ) Est-il possible de mettre fin à chaque attachement intérieur, à une sécurité psychologique, à tous les souvenirs que nous avons accumulés, emmagasinés, et où nous puisons notre sécurité et notre bonheur? Est-il possible de mettre fin à tout cela, ce qui veut dire mourir chaque jour pour qu'un renouveau puisse avoir lieu demain? Ce n'est qu'alors que l'on connaît la mort pendant que l'on vit Ce n'est qu'en cette mort, en cette fin, en cet arrêt de la continuité, qu'est le renouveau, la création de ce qui est éternel. Extrait de La Première et la Dernière Liberté, p. 258-260