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James Conlon, directeur musical et chef d'orchestre vétéran de LA Opera, connaît bien le canon des classiques du XXe siècle. Mais au cours des dernières décennies, il s'est concentré sur un autre type d'œuvre: des œuvres classiques que le public n'a jamais eu la chance d'entendre. Pendant près de la moitié des 50 années de carrière décorée de Conlon, le véritable travail de sa vie a été d'interpréter et de promouvoir la musique de compositeurs dont la vie et la carrière ont été perturbées ou terminées sous le régime nazi. La passion est un volcan au. "La chronique des classiques du XXe siècle a été écrite avec de grandes omissions", dit-il. "C'est une mission plus grande que n'importe lequel d'entre nous" pour les élever. "Je ne verrai pas cela complètement terminé de mon vivant, et j'ai donc pensé qu'il était très important de commencer à investir dans les jeunes, les musiciens et les musicologues qui, espérons-le, le feront avancer. " En matière de musique, Conlon comprend que la visibilité n'est pas toujours synonyme de valeur.
Le second a coûté la vie. En 1942, il meurt de la tuberculose après avoir été déporté dans un camp à Wülzburg, en Allemagne. Au cours de sa vie, Schulhoff a côtoyé des modernistes tels qu'Arnold Schoenberg et Alban Berg, tout en s'inspirant de l'art et de l'esthétique du mouvement Dada de Berlin. La passion est un volcan mauboussin. Il a été le premier à embrasser le jazz et les influences variées au sein du Quatuor n ° 1 témoignent de l'originalité de Schulhoff. Insolite dans sa structure, la pièce saisissante débute par une fougueuse et très rythmée bientôt avec le feu une notation invitant les musiciens à jouer « rapidement, avec passion ». La performance comprendra des airs interprétés par la soprano Shana Blake Hill, le ténor Scott Ramsay et le baryton Roberto Gomez, avec le directeur musical et pianiste Christopher Luthi, ainsi qu'une performance du quatuor à cordes Melodia Mariposa dirigé par Irina Voloshina. Aux côtés de Schulhoff, des œuvres d'Erich Korngold, Schreker, Viktor Ullmann, Kurt Weill et Von Zemlinsky seront présentées.
Mais 32 personnes ont perdu la vie et plus de 3 000 habitations ont été détruites. La catastrophe a mis en évidence le manque de préparation des autorités et notamment les maigres moyens alloués à l'Observatoire volcanologique de Goma. Un an après, quelle est la situation des sinistrés et les améliorations promises ont-elles été réalisées? Réponse avec le reportage de nos correspondants, Clément Bonnerot, Justin Kabumba et Juliette Dubois. La dent de Patrice Lumumba bientôt restituée Une cérémonie officielle se déroulera le 20 juin à Bruxelles. Le principe de cette restitution, réclamée au roi des Belges Philippe par la famille Lumumba, est acquis depuis 2020. La source du volcan le plus actif au monde pourrait enfin être identifiée - Nouvelles Du Monde. Mais la cérémonie a déjà été plusieurs fois reportée, notamment en raison de la pandémie de Covid-19. La relique de celui qui fut un des pères de l'indépendance et Premier Ministre congolais, sera remise à sa famille, en petit comité. Une fois arrivée en RD Congo, cette relique permettra d'ériger un mémorial en l'honneur de Patrice Lumumba à Kinshasa.
Auteur d'un sans-faute face aux perches et très bon dans l'animation, Ihaia West a fait taire les doutes qui entouraient sa personne, à Marseille. Et de quelle manière! Avouons-le, désormais. On s'est posé mille questions au sujet d'Ihaia West, avant cette finale de Champions Cup. On s'est dit, maintes fois, que toutes les équipes ayant un jour ou l'autre dominé l'Europe avaient pu compter sur un grand buteur. TXT : Taehyun pense que la "passion" est en fait "un combat froid et solitaire". On a écrit, répété, que les Saracens d'Owen Farrell, le Leinster de Johnny Sexton, le Toulon de « Wilko », le Toulouse de Thomas Ramos et le Munster de Ronan O'Gara avaient tous pour eux la possibilité de punir et frapper, dès lors que l'adversaire entrouvrait une porte. West? Il avait bel et bien sombré en demi-finale face au Racing, échouant face aux perches comme l'an passé, comme si la pression inhérente aux très grands matchs, en fait, ne lui convenait guère… Que s'est-il passé, en quinze jours? Et comment Ihaia West a-t-il à ce point changé pour passer de loser magnifique à héros véritable, d'un jour noir à ce match à 100% de réussite dans ses tirs au but?
On peut ici évoquer l'orgueil du champion, l'irrationalité naturelle du sport, les aberrations d'un destin. On peut aussi penser qu'en maintenant coûte que coûte son meneur de jeu dans la tempête, en choisissant de ne pas lui adjoindre samedi de « roue de secours » dans les tirs au but (Pierre Popelin et Jules Plisson n'étaient même pas sur le banc de touche), le staff rochelais a délibérément protégé et responsabilisé l'ancien joueur des Blues, lui offrant une autre chance quand d'autres l'auraient écartelé place de Grève, à l'approche des phases finales. « Ce n'est pas un secret, disait Pierre Bourgarit après la rencontre. Ihaia n'avait pas été en réussite avant cette finale et c'est la raison pour laquelle on a décidé de gagner contre le Leinster en marquant des essais; quand le tir était trop excentré, on a préféré jouer la pénaltouche. » West, lui, nous confiait dans les couloirs du Vélodrome: « De mon côté, j'ai toujours gardé confiance. La passion est un volcan en. La demi-finale contre le Racing n'avait pas été ma meilleure sortie, c'est vrai, mais je n'ai jamais baissé la tête.