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Dictionnaire des citations Il n'y a que les mots qui comptent, – le reste n'est que bavardage. [ Eugène Ionesco] Chaque citation exprime les opinions de son auteur et ne saurait engager Dicocitations. Nouvelles citations novembre 29, 2015 Frédérick Jézégou Les mots ne sont que des mots, et je n'ai jamais ouï dire que dans un cœur meurtri on pénétrât par l'oreille… William Shakespeare Le Dico des citations ← Les raisons de dire la vérité sont limitées, mais le nombre de celles qui poussent à mentir est infini Et ces cons de Je t'aime qui commencent par Je. Cela marcherait mieux quelquefois si l'on disait tu es aimé. → © 2001- 2022 Frédéric Jézégou - & Dicocitations SAS - Données personnelles - Plan du site - Mentions légales: La base de données des citations est la propriété exclusive de Frédéric Jézégou producteur du contenu.
Les mots ne sont que des lignes Incompréhension, Synonyme d'amour, Sens incompréhensible, Des mots trop agacés, Difficile histoire, Les mots ne sont que des lignes, Une histoire d'amour. Réalité imparfaite, Ma vie sans confiance, Je me suis trompé, Je recommence, J'ai oublié ma vie, J'ai oublié les sens, Je suis seul, Nouveau départ, Un signe une voix, Je ne perçois que des sons inaudibles, Je suis incomplet, Je suis énigmatique, Je t'aime, Tu m'aimes, Différences appréciations, Douceur d'un instant, Je te demande pardon, Mal façon en moi, Compréhension maladive, Retrouvailles, Tu ne m'as jamais quitté, Insolite rencontre, Je veux nous revoir, Nicolle Edmond Créateur de poésies depuis 1973 Texte N°1929 Le 16. 06. 2015
Donc, clairement, que le pouvoir politique se démasque en " qui a 1es mots a le pouvoir ". Que le pouvoir économique est au bout de la guerre (dissymétrique? ) des mots. En bref, ce sont les mots qui font le fric. Ouais mais faut pas que ça se sache. Ouais la censure c'est par le cens. Qui le pige ramasse le pactole. Mais, afin de ne pas partager, fait croire "bon que les mots…hein…" Qui relaie et renouvelle donc ce genre de rumeurs où la rue meurt? D'un coté, les marchés " ne se conquièrent qu'au prix de feux croissants de mots ". Du même côté (et nul n'a jamais fait le total, soit le chiffre le plus astronomique de la planète, des mots déversés chaque jour – là, seul, "ils" dépensent sans compter, croyez-nous! ), nous est bombardé, pilonné, criblé, répandu, chaque seconde (télés, radios, journaux, pubs, web etc), une avalanche de mots: afin de nous empêcher de parler entre nous, de réfléchir ensemble et de penser pour soi calmement. Tout cela bof du mécénat, du décoratif que ces guirlandes de lettres, c'est pour faire joli que toutes les dépenses centrées sur ces barrages de mots.
Pour le dire autrement et en s'intéressant àune échelle plus restreinte: imaginons un fait bien réel, par exemple, l'envol d'une nuée d'oiseaux à 4h12 sur le lacde Constance. Celui-ci n'aura d'existence réel que s'il est identifié et si on en rend compte dans une expression dulangage. Envisageons l'exemple inverse: un journaliste relate en première page un fait qui n'a pas eu lieu mais iln'est jamais démasqué. Le scandale ainsi provoqué aura pourtant des conséquences bien réelles. Dans ce derniercas, et dans tout cas d'imprécision du langage au regard des faits qu'il est censé exprimer, le langage estproducteur d'une réalité, ou du moins de ce que tout le monde pensera être la réalité. Le faux ou l'inexistant peutdevenir vrai et ré mots peuvent donc précéder et produire la réalité. Ils ne sont pas de simples mots mais le principe deproduction de ce qui est. Conclusion: Les mots, dans cette perspective, s'apparentent fortement au verbe divin, à qui nous accordons traditionnellementle pouvoir de poser les choses dans l'existence.
Si nous acceptons que c'est l'usage d'un mot qui détermine sa signification, ne faut-il pasadmettre que certains usages comme les usages scientifiques sont plus pertinents que d'autres? C'est la puissancemême des sciences qui le montre. Mais cela signifie qu'il y a des bons usages et des mauvais usages, autrement dit, qu'il y a de bonnes et de mauvaises significations. Il y a donc des situations qui requièrent que tel usage soit faitd'un mot plutôt qu'un autre. Mais alors ce n'est pas l'usage lui-même mais la situation bien réelle et indépendante detout langage qui prime dans la détermination de la signification. Si l'usage du mot est déterminé par la réalité, lasignification est donc bien déterminée par la réalité. Cela revient à dire que finalement, il y a des usages (i. e. dessignifications) qui décrivent plus ou moins bien la réalité. Les mots ont donc bien le pouvoir de décrire la réalité pourautant que leur usage soit adé peut en conclure que les mots dans leur usage adéquat ne sont pas de simples mots.
VIDÉO - Ils sont absents des colonnes des dictionnaires. Non pas disparus mais absents. Car, notez-le bien, ces termes n'existent pas. Anglicismes, néologismes... Le Figaro vous propose un tour d'horizon de ces mots fantômes que vous prononcez sans le savoir. «Ma colocatrice est inarrêtable dans sa rebellitude. » En voilà une phrase insensée, criblée de termes que l'on entend tous les jours mais qui ne figurent dans aucune des colonnes de nos dictionnaires. On ne dit pas «soixantenaire» mais «sexagénaire». Au terme «solutionner», on préfère le verbe «résoudre». Évitons l'anglais «think-tank» et choisissons la formule «groupe de réflexion». Grâce au livre Le Dico des mots qui n'existent (toujours) pas d'Olivier Talon et de Gilles Vervisch, Le Figaro vous propose un tour d'horizon de ces mots fantômes que vous prononcez sans le savoir. » LIRE AUSSI - Dix mots que l'on prononce toujours mal ● «Amincisseur», sortez les ciseaux! N'avalez pas tout ce que la publicité cosmétique vous dicte, à commencer par l'adjectif «amincisseur».