liteqz.com
Télécharger le plan de scène en PDF Durée de montage: prévoir environ 1/4 d'heure Durée de balance: prévoir environ 1/4 d'heure Durée de démontage: prévoir environ 1/4 d'heure Sortie de la console de mix: une paire stéréo Retours de scène: prévoir au minimum deux caissons (puissance entre 500 et 800 W). Je peux aussi jouer dans le son façade. Spécifications électriques du matériel: Elektron Octatrack: 220 V (adaptateur 6V) / 18 W max Elektron MachineDrum SPS-1UW MKII: 220 V (adaptateur 6V) / 18 W max Elektron Analog Rytm: 220 V (adaptateur 10V) / 20 W max Elektron Analog 4: 220 V (adaptateur 12V) / 24 W max Table de pré-Mix Yamaha MG10XU: 220 V / 22, 9 W Simple, non? Durée d'un live: entre 1h et 4h (si personne ne vient me débrancher). Ambiance visuelle: dans le noir complet, à part de quoi éclairer mes machines. Sauf si un VJ veut poser des images, ou si un performeur souhaite se dandiner. Mais il a intérêt à être souple. Organisation: si possible, je préfère ne pas jouer après un DJ drum'n'bass, techno ou hardcore, ni après des punks à chiens, car je développe des ambiances plutôt calmes et des rythmiques lentes au début de mon live.
» [ 3] Pour eux, la scène est plus vaste qu'une séquence (aussi bien en termes de lieux que de temps), et une scène peut compter en son sein plusieurs séquences qui comportent chacune un ou plusieurs plans. Pour Yannick Vallet aussi, « La séquence est une notion purement cinématographique. Elle désigne une suite de plans exprimant une idée principale à l'intérieur d'une unité dramatique de lieu et de temps. » [ 4] Cet auteur souligne l'unité de lieu et de temps de la séquence. Seule la scène pourrait inclure plusieurs lieux et plusieurs temps. Plan [ modifier | modifier le code] Au passage, il est bon de rappeler ce qu'est un plan: « Fragment de pellicule enregistré entre la mise en marche et l'arrêt de l'appareil de prise de vues. » [ 5]. Appliquée à la fiction et adaptée au contenu utile d'une prise de vues, cette définition devient: « Le plan est le jeu de scène filmé entre les deux mots magiques du tournage: Action! et Coupez! » [ 6] Au début des années 1890, le premier réalisateur de films, William Kennedy Laurie Dickson appelait ce travail une « scène » (« scene » en anglais), puis Louis Lumière nomma ses bobineaux « vues photographiques animées ».
L'impact sur le spectateur est souvent bien supérieur lorsque l'on utilise la technique du plan séquence. Les plans séquences les plus appréciés sont ceux qui durent plusieurs minutes, qui suivent les personnages ou l'action sur une distance significative en s'affranchissant des contraintes spatiales. L'immersion est totale durant ses séquences ou l'on ressent vraiment la difficulté que peut rencontrer le personnage lors de son déplacement. Le plan séquence permet également de jouer sur le rythme. On peut ainsi créer une atmosphère particulière. Accompagnés d'une musique douce, des mouvements lents de caméra créeront une ambiance légère. Enfin, le plan séquence peut mettre en avant la performance physique d'un comédien pratiquant lui-même une cascade ou pour une scène de danse. Après, bien souvent les spectateurs vont chercher une raison à un plan séquence, et s'il n'en trouve pas vont estimer qu'il ne sert à rien. Or, il n'y a pas forcément besoin d'une utilité dramaturgique ou de mise en scène pour utiliser un plan séquence.
En un mot, tout renseignement qui paraît utile au réalisateur et à la production pour préparer le tournage des plans. « En pratique - à l'écriture du scénario, l'intitulé de chaque séquence comporte les indications INTERIEUR ou EXTERIEUR puis JOUR ou NUIT ainsi que le lieu (décor) où l'action se déroule » [ 8] Les découpages techniques clarifient notamment les éléments géographiques de chaque plan avec les en-têtes suivants, par exemple: SEQ. 22. PLAN 3. INT. GARAGE. JOUR. → SEQ. PLAN 4. 23. PLAN 1. EXT. ROUTE. Il est significatif que le mot « scène » ne figure jamais dans le libellé de ces en-têtes. Extension du mot [ modifier | modifier le code] Par tradition, la dramaturgie au théâtre ayant précédé celle qu'emploient les cinéastes, le réalisateur de films a été, et est encore, qualifié parfois de « metteur en scène », responsable de sa « mise en scène », dirigeant les « jeux de scène » des comédiens. L'expression, liée au plateau du théâtre (décors et comédiens), amplifie même la qualification du maître d'œuvre d'un film, et le film "à grand spectacle" est souvent désigné par sa "mise en scène", c'est-à-dire par l'ampleur des décors, la richesse des costumes, et la multitude des figurants.
Prix d'interprétation féminine: Zar Amir Ebrahimi pour Les Nuits de Mashhad / Holy Spider Prix d'interprétation masculine: Prix du Jury (ex aequo): Les Huit Montagnes de Felix Van Groeningen et Charlotte Vandermeersch et EO - Hi-Han de Jerzy Skolimowski Mention spécial du court métrage: Lori Palme d'or du court métrage: The Water Murmurs de Story Chen Caméra d'or: War Pony de Gina Gammell et Riley Keough.