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Les bijoux Belle mais pas que sont fabriqués selon des techniques de tissage à la main, et embrassent la silhouette des femmes comme une seconde peau. Ces bijoux ont également des propriétés en lithothérapie car sertis de pierres semi-précieuses naturelles: labradorite, onyx, apatite,... La collection renferme également des bracelets multirangées parsemés de perles brillantes. Laissez-vous séduire par les bijoux Belle mais pas que et ses motifs colorés, bohème et tendance! Les bracelets peut être ajusté pour s'adapter à votre poignet. Voyagez dans un univers gipsy-bohème grâce aux bijoux Belle mais pas que. Choisissez votre bague, bracelet, collier ou boucle d'oreille Belle mais pas que!
Une rencontre décisive, avec une richissime anglaise, Isabella Robinson Falconer, lui ouvre les portes des familles italiennes et étrangères les plus aisées. Dès lors, le carnet de commandes du peintre ne désemplit plus. Contrairement aux Macchiaioli, dont il se détache peu à peu, Boldini se passionne pour les scènes d'intérieur. Déjà en quête d'absolu raffinement, il dépeint le charme discret de la bourgeoisie, son oisiveté et sa séduisante désinvolture dans des décors de salons confortables. Installé à Londres à partir de 1871, le peintre pose ses valises à Paris, le temps d'un bref séjour. Piqué par la frénésie de la capitale, il ne la quittera plus! Boldini a du flair, et la vie de bohème ne l'intéresse guère. Il abandonne pour un temps ses portraits mondains pour embrasser un style radicalement différent, dit « à la mode »: des peintures de genre minuscules, parfaitement anachroniques (certaines copient, à grand renfort de tons pastel, le rococo du siècle passé), où l'on peine à déceler la touche enlevée qui fera la renommée de l'Italien.
De Ferrare à Paris Observez une toile de Boldini et c'est toute la Belle Époque qui vibre et froufroute sous vos yeux. S'immiscer dans les salons feutrés de la plaine Monceau, que fréquentait comme lui Marcel Proust (ce n'est pas un hasard si l'exposition emprunte son titre au recueil Les plaisirs et les jours), voir défiler le monde depuis la terrasse des cafés, s'encanailler au Moulin au Rouge… Né en Italie, à Ferrare, en 1842, le jeune Giovanni Boldini s'était-il un jour imaginé pareil chroniqueur de cet âge d'or parisien? Honni par les uns? Admiré par les autres? voir toutes les images Giovanni Boldini, Autoportrait dit de Montorsoli, 1892 i Huile sur toile • © Galleria delle Statue e delle Pitture degli Uffizi, Su concessione del Ministero della Cultura En quête d'absolu raffinement, il dépeint le charme discret de la bourgeoisie, son oisiveté et sa séduisante désinvolture. C'est d'abord à Florence, auprès des peintres Michele Gordigiani et Cristiano Banti, qu'il forge son coup de pinceau, avant de se rapprocher des Macchiaioli, un groupe d'avant-garde considéré comme précurseur de la peinture moderne en Italie.