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Vous pourriez aussi aimer lire… Le stress et la vésicule biliaire: un lien vraiment intéressant Nous avons vraiment été enthousiasmés lors de nos recherches concernant le lien entre les émotions négatives, le "stress social" et la vésicule biliaire. Bien sûr, il n'y a rien pour se réjouir si l'on pense aux problèmes de santé en tant que tels. En revanche, ce qui rend optimiste, c'est la manière dont une science orientale vient rejoindre nos approches conventionnelles du corps humain. La rupture est encore souvent nette entre ces deux univers. Dans le cas de l'organe qui produit la bile, au contraire, on retrouve des similitudes saillantes. Les observations anglaises dans le cadre de recherches en laboratoire et "sur le terrain" font écho aux constats effectués par les experts chinois dans le cadre d'études sur l'acupuncture. Il est question d'une interconnexion forte entre l'état du cerveau et celui de la vésicule. Soigner son mental serait un bon moyen d'assurer le travail de régulation qui s'opère en continu dans cette zone du corps.
Il s'agit désormais d'établir un contact intime avec le " sacré" (199), c'est à dire " moi-même "(199) (dissolution des graisses). C'est quand les graisses passeront dans les intestins, que la personne sera en mesure de les analyser et ainsi comprendre l'expérience puisque elles passent dans la tête, "intestus". En général, les dysfonctionnements de la vésicule biliaire sont liées " à l'inhibition des humeurs pour des raisons morales et/ou idéalistes"(1). Le processus, auquel elle nous invite, qui est de passer par les différentes couleurs afin de permettre l' émancipation de l'image de soi et des faux rôles, semble écrasé par "une volonté tenace d'y résister pour rester dans la conformité et la responsabilité"(1). Arrêtons nous un instant sur le cholestérol, celui qui nous dit " colle est-ce tes rôles "? Son excès, serait un cri du corps qui exprime alors le besoin de vivre en pleine " clarté "(329), en " concordance "(329) avec "soi-même"(259), et pour cela il faut se regarder " en face "(70 issu de 329-259), loin "des rôles qui collent à la peau" pour être dans sa vérité, sans faux semblants.
La vésicule biliaire. Ma vésicule biliaire. Me suis-je jamais intéressé suffisamment à ce petit organe? Cachée sous le foie, ma vésicule biliaire est discrète. Souvent muette. Sauf lorsqu'elle se met en branle. On la sait minuscule, capable de tenir dans le creux d'une main avec ses 10 centimètres. Une petite poire fragile, palpable, verte, insolite. Si je regardais à l'intérieur de moi, je la verrai palpiter au coeur de la journée, toute occupée à récolter la bile transformée par mon foie. Comme tous les organes, la vésicule biliaire vit une existence cachée au creux de mon ventre. On ne peut pas la toucher, même en la palpant. Et encore heureux! Car lorsque je la sens sous mes doigts, c'est qu'elle a atteint un stade critique. Elle est remplie de bile. Amère. Aigrie. Ma vésicule biliaire et mes émotions ont des remontrances à me faire. Et plus la situation empire, plus la bile stagne à l'intérieur de moi et dans tout mon corps. Tout doucement, la voilà qui se répand dans le sang, elle et sa drôle de couleur jaune.
Publicité Apparemment, les individus qui sont exposés à un stress social particulier de subordination seraient plus à même de retenir la bile, causant ainsi des problèmes par truchement à leur vésicule biliaire. C'est évidemment très spécifique. On parle là des situations où une personne se sent inférieure à une autre, où elle doit répondre à des ordres parfois abscons ou se soumettre sans pouvoir échapper à une emprise. Mais l'observation semble pouvoir s'étendre, à une échelle différente, aux autres formes de stress que l'on peut ressentir dans la vie en collectivité. Ainsi, la psychothérapie serait l'un des moyens privilégiés pour réguler les flux biliaires, ainsi que d'autres techniques plus spirituelles comme la méditation. L'idée est d'atteindre une certaine sérénité pour éviter au maximum les rétentions. Ces dernières sont susceptibles de provoquer la création de calculs biliaires qui, comme on le sait, impactent dangereusement cet organe sur le moyen et long terme. Les douleurs s'avèrent alors difficiles à vivre.
Il nous rend " libre "(136). La colère aide à la séparation, en ce sens qu'elle nous invite à rompre avec une "fusion devenue insupportable"(1). Le processus invite à quitter "l'amour maternel du foie pour s'ouvrir"(1) au sentiment de participation au tout, au monde. Les premiers pas sont faits d'inquiétudes, d'irritations et de récriminations qui sont autant de leviers pour ces départs et espoirs réitérés en vain... parfois. Le processus que la vésicule biliaire symbolique nous propose est de prendre conscience que les espoirs de croissance et d'épanouissement sont signés par la couleur verte de la bile, une couleur active et apaisante, puis que vient ensuite la couleur jaune, une couleur solaire qui marque la renaissance et l'évolution par le centre, cet axe retrouvé. Ce processus de la " bile "(46) est celui de notre "âme"(46) qui désire notre réalisation, en pleine autonomie, en tant qu'être libre. La bile jaune et amère révèle l' " Huile sacrée "(556) celle qui est là pour " faire monter "(556) la conscience et l'ouvrir au sens de "l'offrande et de la charité"(1).