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Résumé: Phèdre act 1, scène 3. Recherche parmi 272 000+ dissertations Par • 17 Mai 2020 • Résumé • 470 Mots (2 Pages) • 671 Vues Page 1 sur 2 Fiche bac; phedre acte 1 scene 3 intro Voilà six mois que Thésée a quitté Athènes dont il est le roi. Son fils Hippolyte est sur le point de partir à sa recherche et de fuir la jeune Aricie dont il s'est épris. Phèdre, seconde épouse de Thésée, languit, et accablée d'un mal mystérieux, dépérit, se laissant mourir de faim. Œnone, sa nourrice et confidente, tente de la ramener à la vie et de lui faire dire son secret. Phèdre, l'épouse de Thésée, aime Hippolyte, le fils que Thésée a eu avec sa première femme. Phèdre fait cet aveu à sa nourrice Œnone. C'est de cela qu'il est question dans cet extrait. Annonce des axes I. Un aveu dramatique,,,, rôle,,,, d'Œnone 2. Le poids de la fatalité II. Un chant douloureux 1. PHÈDRE, Acte I, scène 3 - YouTube. Horreur,, et,, compassion 2. Un amour malheureux Commentaire 1. Le rôle d'Œnone - Très grande intimité entre Phèdre et Œnone. Œnone est à genoux: «Par vos faibles genoux que je tiens embrassés» -> marque de respect.
- \"genoux\" v27 à Phèdre n'arrive plus à se concevoir dans la totalité de son être (elle se voit de façon fragmentée) ce qui témoigne de sa névrose. Elle subit donc une sorte de combat à l'intérieur de sa personnalité. • A mour = maladie qui fait souffrir: \"blessé\" v36, \"je tremble, je frissonne\" v36, \"misérable\" v41 → souffrance morale et physique. 3-/ Héroïne tragique • Ponctuation riche et variée, • Interjections: \"O haine de Vénus! O fatale colère! \" v32 • Superlatif: \"la plus misérable\" v41 • Hyperbole: \"le comble des horreurs\" v43 1-/ Un quiproquo vite démenti Début de scène: quiproquo, méprise entre les deux femmes = Oenone pense que Phèdre veut avouer un crime de sang dont le remords poursuit sa maitresse. Phèdre act 1, scène 3 - Résumé - tonay974. (v1 à3) à Le premier indice donné par Phèdre dément qu'il s'agisse d'un crime de sang. v4: opp° « criminelles » ≠ « innocentes ». à \"cœur\" v5 = Phèdre annonce que son mal vient d'un problème sentimental 2-/ Manipulation d'Oenone • Rôle = faire avouer Phèdre → nb interrogations: \"Que faites vous?
C'est ainsi que l'amour d'Hippolyte à son père est exprimé: Il insiste sur cet amour en utilisant l'adverbe "Si" juxtaposé à l'adjectif « chère » pour insister sur cette dimension fusionnelle entre les deux personnages (Hippolyte et son père) T héramène prend donc la parole en utilisant la forme négative pour faire allusion au dessein d'Hippolyte mettant l'accent sur son histoire antérieure en utilisant le passé composé « J'ai couru les deux mers », « j'ai demandé » tout en faisant référence au cadre spatial de l'histoire. Cela a eu lieu à Corinthe. L'énumération des faits et événements passés est employée comme base de son constat formulé dans une question: « Croyez-vous découvrir la trace de ses pas? Phedre scene 3 acte 1 analyse. ». Ce constat fut alors suivi d'une seconde interrogation servant à remettre en question le projet envisagé. La répétition de l'expression « Qui sait » corrobore la dimension mystérieuse des intentions derrière l'absence du personnage (Le père d'Hippolyte). La référence au cadre temporel est toujours présente et accentuée par « Lorsque » liée à un champ lexical de l'amour « Amante abusée » et « Nouvelles amours » pour corroborer l'aspect séducteur du père d'Hippolyte.
Pour Phèdre se montrer un jour, au soleil (son ancêtre), reviendrait pour elle à dévoiler sa culpabilité. Phèdre cherche le dévoilement, la vérité, autant qu'elle les craint. Cette culpabilité nous est donnée son champ lexical: « Honteuses » (v. 183), « la rougeur » (v. 182) et « rougis » (v. 171), elle se sent coupable d'aimer Hippolyte. Elle veut que cette malédiction s'estampe, les vers 169 à 172 peuvent être interprétés comme une forme de prière. Le vers 184 « Et mes yeux, malgré moi, se remplissent de pleurs » est une image hyperbolique comme un vase trop plein et qui déborde, Phèdre est malheureuse, un ton tragique est engagé. De plus le désir de mort n'est pas explicitement cité elle contourne son désir en annonçant « [c'est] la dernière fois » (v. 172) traduisant une appréhension qui s'accompagne de sa contradictoire avec la volonté de sortir du Palais, ce qui révèle la passion. Phèdre subit son désarroi, c'est un personnage tiraillé, paradoxale, fidèle aux héros tragique. Acte 1 scène 3 phèdre analyse linéaire. Le jeu de l'ombre...
Il s'agit d'un aveu amoureux, d'une expression de la passion qu'il éprouve à l'égard de sa bien aimée. L'expression de la condition introduite par "Si" donne lieu à un paradoxe qui s'annonce dès cette scène d'exposition: Il aime Aricie, mais pourtant il l'a quittée, ou tout au moins c'est parce qu'il l'aime qu'il a dû la quitter. La litote employée dans ce vers vise essentiellement à souligner le sort tragique auquel le personnage est confronté. Entre amour est devoir, il se trouve tiraillé sans repères et dans une quête continue d'un père perdu mais également d'un amour qu'il a été obligé de sacrifier. Acte 1 scène 3 phèdre 2017. A u demeurant, cette scène remplit les fonctions de la scène d'exposition en exposant les personnages, le cadre patio-temporel tout en donnant lieu à un élan tragique et une fatalité qui se présente en une entrée in-mediaş-res. Quel en serait donc l'effet au niveau de la tirade de Phèdre? Et en quoi consisterait la dimension tragique au niveau des prochaines scènes et tout au long de la pièce?
Elle prit pour Phèdre qui est en situation de grande faiblesse. À partir du vers 10, Oenone sort de son rôle de confidente et joue cette fois un rôle de donneuse de leçon. Elle reproche à Phèdre de manquer de force et d'avoir envie de mourir avec le martellement du vers 162 à 168 du pronom de la deuxième personne du pluriel « vous ». Nous observons également des procédés rythmiques et mélodiques du vers 173 à 176. Analyse linéaire: Phèdre, acte 1, scène 1 | Ma Classe Idéale. Le « Quoi! » d'Oenone au début du vers nous explique que l'actrice va mettre un peu plus de temps à dire son vers on est donc bien dans la représentation. On a l'impression que ce vers 21 nous offre plus de temps « poétique » dans cette scène. Encore davantage qui nous avait été à voir dans le premier vers qui lui est composé de deux hémistiches, ici, le rythme et cette mélodie donnent à voir une certaine violence dans le ton. Oenone confirme le désarroi de Phèdre en soulignant ses contradictions des vers 163 à 168.... Uniquement disponible sur