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L' huile de coco cheveux est une alternative de traitement capillaire aussi vieille que le monde. Sans exagération, cette huile est particulièrement efficace sur la chevelure. En plus, il est tout à fait possible de l'utiliser sur les cheveux lisses ou raides. Une option de choix surtout si vous êtes en quête d'un produit 100% naturel et 100% efficace! L'huile de coco pour les cheveux: pourquoi? Il est impossible de ne pas savoir que l'huile de coco s'utilise sur les cheveux. D'ailleurs, c'est comme un rituel obligatoirement pour les cheveux crépus. Bien entendu, il n'y a pas que ce type qui peut se tourner vers l'usage de l'huile végétale de coco. Après tout, même les cheveux lisses et les cheveux raides peuvent parfaitement prétendre à tous ses bienfaits sur la chevelure. Alors en gros, pourquoi utiliser l'huile de coco sur les cheveux? Tout simplement parce qu'il offre ce dont toutes les chevelures ont besoin: de l'hydratation. Ici, on ne parle pas d'une action hydratante basique, mais d'un effet avec une efficacité particulièrement accrue.
La bonne nouvelle, assure-t-elle, c'est qu'il n'a pas d'effets nocifs et qu'il peut « améliorer et augmenter l'absorption et l'efficacité d'autres produits », ce qui peut à son tour fournir un « terrain fertile » à la croissance des cheveux. Quelle est la meilleure chose pour l'alopécie? Il n'existe actuellement aucun remède contre l'alopécie areata, bien qu'il existe certaines formes de traitement qui peuvent être suggérées par les médecins pour aider les cheveux à repousser plus rapidement. La forme la plus courante de traitement de la pelade est l'utilisation de corticostéroïdes, de puissants anti-inflammatoires capables de supprimer le système immunitaire. L'huile de coco est-elle bonne pour l'alopécie? L'huile de coco est un remède séculaire pour de nombreux problèmes capillaires; qu'il s'agisse de chute de cheveux, de cuir chevelu sec ou d'amincissement des cheveux. … Bien qu'il puisse s'agir d'une solution unique pour la plupart des problèmes capillaires, on dit qu'il est le plus efficace pour prévenir la chute des cheveux.
2. L'IRONIE DE FLAUBERT Bouvard et Pécuchet apparaît comme l'aboutissement de toute l'oeuvre de Flaubert. Ce livre amplifie dans une sorted'épopée dérisoire le thème de la faillite qui est à la base de la création flaubertienne. Si Madame Bovary etL'Éducation sentimentale sont les faillites du sentiment, Bouvard et Pécuchet représente lafaillite de l'intelligence. Flaubert en avait prévu la fin, dans les brouillons d'un plan: «Ainsi, tout leur a craqué dans les mains. Ils n'ont plus aucun intérêt dans la vie. Bonne idée nourrie en secret parchacun d'eux. Ils se le dissimulent puis se la communiquent simultanément: copier [... ]. Ils s'y mettent». Ainsi devrait s'achever Bouvard et Pécuchet, par un retour au point de départ, disant l'inanité des efforts accomplispar «les deux bonshommes» (comme les appelait Flaubert). Cette fermeture du livre sur lui-même, ce ressassementstérile est l'une des manifestations de l'ironie qui travaille en profondeur l'oeuvre de l'écrivain. Comme il l'écrivit lui-même, «l'ironie n'enlève rien au pathétique, elle l'outre au contraire».
« Bouvard et Pécuchet » est un roman inachevé de Gustave Flaubert (1821-1880) publié en 1881 à titre posthume. Il s'agit d'une vaste raillerie de Flaubert sur la vanité de ses contemporains. Bouvard et Pécuchet, deux promeneurs du dimanche près du bassin du port de l'Arsenal, se rencontrent par hasard sur un banc public. Ils découvrent qu'ils exercent le même métier de copiste, ont les mêmes centres d'intérêt, et désireraient tous deux vivre à la campagne. Un héritage opportun de Bouvard leur permet de changer de vie. Bouvard et Pécuchet achètent une ferme près de Caen et se lancent dans l'agriculture, leurs seules connaissances provenant d'ouvrages de vulgarisation et de quelques conseils pratiques glanés au hasard. Ils n'engendreront que des désastres, et il en sera de même lorsqu'ils s'essaieront à divers autres domaines auxquels ils ne comprennent en vérité pas grand-chose… Dès 1872, l'auteur conçoit le projet de ce qui deviendra « Bouvard et Pécuchet »: cette année-là, il affirme son intention comique dans un courrier adressé à George Sand.
Une allitération en "b" marque la monotonie de la pièce: " Boulevard bourdon", "barriques" "Bastille" "bateau" "bois"... Enfin le banc est décrit comme point central dans le récit: un observateur extérieur se situant sur le boulevard remarque deux hommes qui s'assoient au milieu du boulevard sur le même banc. 2. Un aspect parodique Les portraits des deux hommes sont caricaturaux, d'abord désignés ensemble:" deux hommes" puis séparément:" l'un,... l'autre" Ils sont en totale opposition: grand / petit déboutonné / sous sa redingote chapeau en arrière/ Casquette à visière pointue. Le couple est donc parodique, ils sont ridicules Aspect absurde: fait sourire le lecteur: " tout semblait engourdi par le désœuvrement du dimanche et la tristesse des jours d'été. " Jours d'été = les plus animés de l'année. Dimanche = jour de congé: tous les habitants sont heureux et sortent: opposition avec le désœuvrement. La fatalité de la pièce est grotesque: l1: " Comme il faisait": fait penser à un milieu théâtral.