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Mardi 31 mai à 18h00, le Pape François récitera la prière du Rosaire pour la paix en la basilique de Sainte Marie Majeure de Rome. Un acte d'espérance pour le monde, auquel sont conviés tous les fidèles. Recherchez la paix avec nous pour faire. Vatican News En conclusion du mois marial, le Pape François désire offrir un signe d'espérance au monde, traversé par la guerre en Ukraine et profondément blessé par la violence des nombreux théâtres de guerre. Mardi 31 mai, à 18h00, le Saint-Père récitera dans ce cadre la prière du Rosaire en la basilique de Sainte-Marie-Majeure de Rome, a indiqué ce 26 mai le Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation. Plusieurs catégories de participants seront présents aux côtés du Souverain pontife, en signe de proximité avec les victimes de pays frappés par la guerre. Parmi elles, des familles de la communauté ukrainienne de Rome, des représentants de la Jeunesse ardente mariale (GAM), des groupes de jeunes scouts, un groupe d'aumôniers militaires ou encore des personnes anciennement victimes de conflits à travers le monde.
Les Ukrainiens ne peuvent pas répondre à tous, en embarquer tous les jours, ils ont des positions à tenir, et des stratégies de défense à penser et mener, pour répondre à l'agresseur russe. Don McCullin n'est pas allé en Ukraine. Il tourne désormais son objectif vers les paysages du Somerset, dans l'Angleterre du Sud-Ouest, qui s'étendent devant sa maison. Il se dit "retraité de l'horreur qui a su garder son équilibre", mais forgé aussi par une certitude: "Aucune de ses photos n'a infléchi, ne serait-ce que légèrement le cours des choses. Mais si une photo n'a jamais empêché une guerre, au moins lui donne-t-elle une consistance. Faute d'empêcher, montrer, c'est déjà rétablir les faits". Si Don McCullin ne va plus sur le terrain, Patrick Chauvel lui, ne se résout pas à la retraite. Piscine Emile Anthoine - Ville de Paris. L'énergie des premiers jours est toujours là. Parce qu'il veut vivre l'Histoire et ne pas la lire. Raconter les faits avec sa sensibilité. Adrien Jaulmes, prix Albert-Londres, le décrit sans âge, "parce que le reportage a toujours été pour lui un mode de vie plus qu'un métier".
Et puis il y a la douleur de Don McCullin: "Les journaux n'ouvrent plus leurs pages aux reporters de guerre sous prétexte que cela coûterait trop cher, que cela ne ferait pas vendre, pourquoi, pour qui, certains d'entre eux ont-ils donné leurs vies? Sont-ils morts en vain? " Et si l'Ukraine inverse cette tendance aujourd'hui, c'est parce que la guerre est à nos portes, elle est en Europe et elle menace la paix mondiale. Il ne faut pas jouer avec les mots dit Chauvel, c'est un conflit où les Européens et les Américains livrent des armes contre les Russes, " c'est une guerre mondiale". Et comme l'intérêt de la guerre – puisqu'à deux pas de nos frontières – s'est manifestée dans toutes les rédactions, et que depuis les Balkans et la Tchétchénie, le nombre de médias a considérablement augmenté, le nombre de journalistes sur place dans les premières semaines de guerre est si important qu'il en devient dangereux. Recherchez la paix avec tous les biens. Ils veulent tous aller sur le front, ils veulent tous être avec les bataillons ukrainiens qui, croulant sous les demandes, finissent par ne plus supporter le trop plein de reporters.
La deuxième raison, le président congolais a réussi à réunir ses compatriotes du nord au sud, et a pu faire assoir le vrai vivre-ensemble. La dernière raison est liée aux efforts que Denis Sassou N'Guesso a déployés pour le développement tous azimuts de son pays notamment, les grandes infrastructures construites à Brazzaville et à Pointe-Noire (la route nationale n°1, reliant les deux grandes agglomérations du Congo, les routes d'intégration sous-régionale... « Chaque jour, des vies sont sauvées et changées par la présence des casques bleus ». ). Le Congo, un pays jouissant de stabilité et de paix, contribue efficacement au recouvrement et au renforcement de la paix et de la sécurité dans la sous-région. Depuis son avènement à la tête du Congo-Brazzaville pour la première fois, en 1979, le président Denis Sassou N'Guesso n'a cessé de jouer un rôle majeur dans la médiation de conflits au sein du continent africain. Son œuvre de réconciliation nationale, à la fin des années 1990, lui a valu la reconnaissance de pacificateur, consulté sur de diverses crises en Afrique. Le président Sassou N'Guesso a beaucoup œuvré par exemple pour le retour de la paix en Centrafrique.