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Oui la « causerie » est nécessaire au travail! Les gens s'ouvrent quand ils connaissent votre musique préférée, comment vous en êtes venus à parler finnois couramment et au sujet de vos médailles de concours hippiques. Aussi je vous propose cette métaphore des cigarettes et de l'alcool dans le lieu de travail, couplés bien sûr à la fenêtre de Johari, et leur rôle pour augmenter l'efficacité interpersonnelle. Employez le « courage Hollandais » -et vous n'avez pas besoin de boire- pour vous aider à donner des retours d'information et générer des réactions des autres et ainsi réduire l'angle mort (interviewez les gens de votre entourage à propos de vous, sans les juger, quoi qu'ils disent). Utilisez la métaphore du « coin fumeur » -vous n'avez pas besoin non plus de fumer- pour vous aider à découvrir davantage les autres et à partager plus au sujet de vous-même. Appliquez ces mesures pour augmenter votre efficacité personnelle et utilisez le modèle de fenêtre de Johari avec vos collègues.
- Enfin 5 choses que je ne connais pas de moi mais que je crois qu'ils pourraient m'aider à les découvrir. - Trouver un partenaire ouvert, attentif, authentique et empathique, comparez vos listes et demandez vous « que puis-je faire pour me connaître moi-même? » Je suis ouvert à tous échanges et témoignages avec des hommes et des femmes ayant déjà expérimentés comme animatrice ou animateur ou participant cet outil « La fenêtre de Johari » ou qui désireraient l'utiliser Bien à vous Jean-Paul PARENT Praticien en hypnose éricksonienne et coaching Réflexologue plantaire et palmaire
Grâce à la Fenêtre de Johari. La Fenêtre de Johari (contraction de Joseph Luft et Harrington Ingham, ses inventeurs) est un outil de communication trop peu utilisé par rapport au bénéfice qu'il offre. Ce modèle simplissime a le mérite de clarifier les 4 situations possibles en communication interpersonnelle: ces situations sont le fruit du croisement de 4 données, Moi et les Autres, le Connu et l'Inconnu. La 1 ère, la zone publique, est celle du partage d'informations, connues par les 2 parties, Moi et les Autres: il s'agit de la communication quotidienne et sans enjeu. Ici, les échanges sont fluides, faciles, et ne posent aucune difficulté à aucune des parties. Il n'y a ni mensonge, ni cachoteries. La 2 nde, la zone cachée est celle des non-dits, de Ma zone intime, de Mes pensées, de Mes émotions tues et refoulées. Aussi, comment l'Autre peut-il deviner ce que Je pense, ressens si Je ne Lui explique pas? Or, par pudeur, par peur, par lâcheté, elle est parfois, et malheureusement plus importante que la 1 ère.
La fenêtre de Johari dans l'éducation: J'ai testé la fenêtre de Joahri dans l'éducation pour gommer des complexes. Lorsqu'un enfant se sent inférieur sur un point particulier, c'est qu'il a tendance à imaginer le jugement d'autrui ou des adultes. Ainsi, si vous entendez un enfant dire « je suis nul », je vous invite à remplir la fenêtre de Johari avec lui soit avec des mots ou des expériences vécues soit avec des schémas. C'est une activité amusante et elle permet de réorienter les pensées positivement. De plus, si cela est pratiqué régulièrement, l'enfant apprendra à adopter un mode de pensée dissociée pour contrecarrer sa mauvaise humeur. Très utile dans la vie. 🙂
La bonne posture: pour que cette zone prenne le pas sur les 3 autres, vous devrez exposer davantage votre personnalité, échanger davantage sur ce qui vous anime, vos motivations et vous positionner dans une démarche d'amélioration continue à travers une demande de feedbacks réguliers de la part des personnes que vous côtoyez. Zone cachée Elle représente tout ce que vous ne montrez pas aux autres de vous, mais dont vous êtes pleinement conscient. On pourrait l'appeler votre façade. Elle incarne ce que vous cachez à vos interlocuteurs de vous (petits travers, peurs, fragilités, secrets, vos ressentis, etc. ) afin de contrôler votre image et offrir une attitude, un comportement, etc. que vous pensez conforme aux attentes d'autrui. Cette zone peut être relativement étendue par crainte des jugements, timidité, manque de confiance en vous, etc. Les individus ayant une zone cachée relativement imposante paraissent faux, méfiants et induisent ainsi une sensation de malaise au sein d'une équipe.