liteqz.com
Avec ce numéro des Tribunes de la santé, il est proposé de s'interroger sur certaines de ces "réformes perpétuelles", pour tenter d'en mesurer les effets, d'en comprendre les limites et d'en tirer des enseignements. Dossier: Travailler à l'articulation soins premiers et second recours: Pourquoi, Comment? Yann Bourgueil La T2A dans les établissements de santé de cours séjour: réforme inachevée, Roland Cash Alcool: la culture ou la santé, Bernard Basset Le remboursement des frais dentaires, Isabelle Yeni Paiement à l'acte/capitation: une réforme ébauchée mais avortée, Pierre-Louis Bras A la recherche d'une fin de vie apaisée, François Strasse Agora: Demander un titre de séjour pour raisons de santé: que sait-on des systèmes de santé des pays d'origine, Yves Charpak Entretien avec Thierry Beaudet Document Consultation par correspondance
En 2020, du fait de la crise économique née de la pandémie et des mesures de « confinement » de la population, les recettes de la Sécurité sociale se sont effondrées. En conséquence, par décret n° 2020-603 du 20 mai 2020, l'Agence centrale des organismes de sécurité sociale (Acoss) a été autorisée à emprunter jusqu'à 95 milliards d'euros. Ces sommes devaient être évidemment transférées, l'Acoss ne pouvant durablement les porter. De surcroît, il fallait prévoir le financement des déficits prévisionnels de la Sécurité sociale, principalement sa branche maladie, pour les exercices 2020 à 2023, en conséquence de la crise sanitaire et des dépenses décidées dans le cadre du Ségur de la santé. Le montant total de la dette devrait s'élever à 136 milliards d'euros, dont 13 milliards de dette hospitalière, et les pouvoirs publics ont choisi de les mettre à la charge de la Caisse d'amortissement de la dette sociale (Cades). Opérée par la loi n° 2020-992 du 7 août 2020, l'opération de transfert a nécessité l'adoption de la loi organique n° 2020-991 du 7 août 2020 qui a rendu possible le report de la date d'amortissement de la dette portée par la Cades de 2024 au 31 décembre 2033.
Et pour cause. Le supposé compagnon d'Alina Kabaeva pourrait être atteint d'un cancer du pancréas suggèrent les enquêteurs. Et ce, en raison d'une opération survenue en avril et réalisée " sous anesthésie locale au niveau de l'abdomen ". Comme vidé, le président paranoïaque qui n'aurait plus que trois ans à vivre a récemment montré tous les signes d'une profonde "lassitude". De plus, l'emprise de Vladimir Poutine est "forte mais plus absolue", assure une source. " Sa posture suggère une baisse d'énergie. Il s'appuie sur ses avant-bras qui sont tous deux posés sur la table ". >> PHOTOS - Vladimir Poutine: retour sur son évolution physique Vladimir Poutine remplacé par un sosie? Alors que les rumeurs à propos de sa santé vont bon train, l'ancien agent du KGB Sergueï Jirnov a fait une étonnante révélation, lundi 30 mai, sur le plateau d'LCI: "Vous savez en Russie, on dit qu'il y a trois Poutine. Et le Poutine qu'on a vu à l'hôpital, ce n'est pas celui qu'on a vu au Kremlin ", a-t-il confié en direct.