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Avec évidemment le camp des belliqueux incarnés comme il se doit par le camp de l'Est, à savoir Chine et Russie. Mais ça parle aussi de choix. Une histoire folle mais un univers cohérent Maintenant, définissons la suspension consentie de l'incrédulité. Dans une histoire qui met en place des éléments difficiles à admettre au départ, on les accepte à partir du moment où l'univers construit est cohérent. Karim Debbache en parle ici, par exemple. Ici, on peut admettre sans trop de soucis cette arrivée extraterrestre. C'est une hypothèse qu'on a vu dans de très nombreux films. Genre Independence Day et Independence Day: Resurgence, Signs, la guerre des mondes, E. T., Rencontre du 3e type, X files, etc. Cependant, il faut que le reste du récit fonctionne et c'est là que Victor et moi ne sommes pas d'accord. Attention, spoiler dans le paragraphe suivant. Et si le temps était cyclique Dans Arrival, les extraterrestres utilisent un langage écrit à base de cercles, tracés dans les airs par une espèce d'encre.
L'important est que ces « violations » se produisent à l'intérieur de certains loyers et qu'il sont incompatibles les uns avec les autres. Par exemple, si dans un des films de science-fiction mis sur terre est acceptable la présence d'extraterrestres capables de voler ou de communiquer télépathie, le public peut difficilement trouver toujours que la terre peut aussi avoir des pouvoirs similaires (comme le canon de ces films nécessite généralement que la nature des êtres humains est identique au vrai). La suspension de l'incrédulité ne signifie pas la suppression complète de logique et la cohérence, mais leur adaptation en fonction du type de travail à laquelle doivent être appliquées. Dans certaines situations, la nature spectaculaire de certaines scènes est souvent liée à leur manque de crédibilité. Tel est le cas, par exemple, les scènes d'action où le héros protagoniste parvient à vaincre une équipe entière d'adversaires qui, en dépit d'être bien armés et entraînés, succombe sans jamais frapper.
». Jacques Darras traduit donc l'expression « willing suspension of disbelief » par « suspension délibérée de l'incrédulité ». Voir aussi la page de discussion. Références [ modifier | modifier le code] ↑ Cf. la recherche en texte intégral sur Google Livres: 910 ouvrages avec « volontaire » contre 41 ouvrages avec « consentie » (en août 2013). ↑ Brisacier, ou la suspension d'incrédulité ( Antoine Compagnon). Fabula. ↑ Pour Yves Lavandier dans La Dramaturgie. ↑ Pour Jacques Darras, voir plus bas. ↑ Samuel Taylor Coleridge ( trad. Jacques Darras), « Autobiographie littéraire, chap. xiv », dans La Ballade du vieux marin et autres textes, Éditions Gallimard, coll. « NRF Poésie », 2013 ( ISBN 978-2-07-031923-7), p. 379.