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» Un poème selon lequel on dirait que toutes les mouettes s'appellent Emma. Je connais ce poème depuis toute petite, et j'ai lu Madame Bovary au lycée. En revanche, le roman de Jane Austen, je ne m'y étais jamais plongée. Offres d'emploi. Tout au plus avais-je vu le film de 1996 avec Gwyneth Paltrow, sous-titré L'Entremetteuse, ce qui m'avait beaucoup fait rire. Et, pour être honnête, ça fait longtemps et je ne l'ai pas revu depuis. De ce fait, j'ai plongé dans les aventures d'Emma Woodhouse sans à priori, sans attentes, et… j'ai adoré. C'est un roman de mœurs, qui, au travers de la description narquoise des tentatives de l'héroïne pour faire rencontrer aux célibataires de son entourage le conjoint idéal, peint avec humour la vie et les problèmes de la classe provinciale aisée sous la Régence. Jane Austen a cette particularité d'écriture que je retrouve chez de nombreuxes autricəs britanniques: une grande tendresse pour ses personnages, qui est immanquable à la lecture. Comme chez Diana Wynne Jones, Terry Pratchett, Angie Sage… Même lorsque Jane Austen décrit les défauts de ses protagonistes, on sent tout l'amour qu'elle a pour ellux – et pour leurs faiblesses.
Des décennies plus tard, le 27 mai 1848, l'esclavage était une nouvelle fois aboli en Guadeloupe, cette fois définitivement. Sénégal : le président reconnaît "l'obsolescence" du système de santé. Dans un communiqué, le LKP (Liyannaj Kont Pwofitasyon, «Collectif contre l'exploitation outrancière») a fustigé le choix de ce lieu pour ce qu'il a appelé une «commémoration coloniale» tenue «sous la haute autorité d'un esclavagiste», le fort abritant la tombe du général Richepanse, venu rétablir l'esclavage en Guadeloupe. Enumérant les «blessures» endurées par les Africains, déportés dans les bateaux négriers, la ministre a déclaré: «la mémoire de leur martyre nous oblige» et «nous devons regarder ces blessures en face, en pleine conscience de leur funeste souvenir». À VOIR AUSSI - «Juneteenth»: Joe Biden promulgue une loi établissant un jour férié pour marquer la fin de l'esclavage Mémoire partagée La «mémoire partagée» est un «remède» contre les discriminations ou le racisme, «ce remède porte un nom, la réconciliation», a-t-elle insisté, en renouvelant la promesse de l'installation à Paris d'un mémorial dédié aux victimes de l'esclavage.
Dans la salle des associations, mercredi 1er juin, à 20 heures, vous est proposée une Nouvelle, extraite de "Histoires" prix Goncourt de la Nouvelle 2 016. Alphonse, une histoire d'amour a été écrite par Marie-Hélène Lafon dont l'écriture "est rude, tendue, sans concession et dans le même mouvement, d'une sensualité absolue", dit-on. Marie-Hélène Lafon donne la parole à ceux qui l'ont perdue C'est mieux de ne pas vous en dire plus mais c'est bien de savoir que cela concerne Alphonse, héros mis à l'écart du monde agricole dans lequel il traîne sa vie minuscule… Tragique. L'arrivée d'Yvonne à la ferme, bonne à tout faire… Va bouleverser la vie d'Alphonse. "Dans ce texte épique et bouleversant, Marie-Hélène Lafon donne la parole à ceux qui l'ont perdue, ou ne l'ont jamais eue, ou n'ont jamais pu ou su la prendre…" "Les mots sortent de son corps et un monde se met à exister sur la scène. Cryptomonnaies : Do Kwon, figure (bien malgré lui) du crypto-krach - L'Express L'Expansion. Un monde" Marie-Hélène Lafon. Entrée libre. Contact: 06 37 22 51 35