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Bonjour, Le soir, vous devrez réciter le Kiddouch de Yom Tov en omettant la Brakha de "Chéhé'héyanou". Voici le texte en phonétique du Kiddouch du soir des derniers jours de Pessa'h: Pour un Séfarade (prononciation généralement acceptée): Si la fête tombe Chabbath, vous commencerez par le paragraphe: " Yom hachichi vayikhoulou hachamayim véhaarets vékhol tséva'am vayékhal élo-him bayom hachévi'i melakhto achèr 'assa vayichbot bayom hachévi'i mikol mélakhto achèr 'assa. Vayévarèkh élo-him ete yom hachévi'i vayékadech oto ki bo chavat mikol mélakhto achèr bara élo-him la'assot ". Dans tous les cas, vous direz " Elé mo'adé ado-nay mikraé kodech achèr tikréou otam bémo'adam. Savri maranane ". Tous répondent " Lé'haïm ". Vous réciterez la bénédiction sur le vin: " Baroukh ata ado-nay élo-hénou mélèkh ha'olam boré péri haguéfén " (certains disent "Haguafèn" à la place de "Haguéfèn"). Décoration Pourim- Assiettes carton - Lev Judaica Jérusalem. Tous répondent " Amen ".
La majeure partie du vin ou jus de raisin devrait être bue par celui qui récite le " kiddouch ", ou un autre assistant. Le reste devrait être partagé par le reste de l'assistance qui se fait passer la coupe en essayant de ne pas la vider avant que le dernier n'en ait bu (mais, encore une fois, il s'agit de coutumes).
En faisant le Kiddouch, nous déclarons que c'est D. qui a créé le vin, et nous réparons cette 1ere faute de dénie, d'ignorance de Hachem. [Rabbi Aryeh Leib HaLevi Horowitz] -> « Shabbath est un semblant du monde futur et un reflet de l'époque du Machia'h où chaque jour sera Shabbath. Kiddouch de pourim shpil. A ce moment, les tsadikim boiront le vin qui a été mis de côté pour eux dans le monde à venir (yayin haméchoumar). Nous disons le Kiddouch sur le vin afin de faire allusion à cette glorieuse époque du Machia'h » [Biour Halakha 242] -> La guémara (Méguila 27b) rapporte: « Les disciples de Rabbi Zakkaï lui ont demandé: « Par quel mérite as-tu mérité une longue vie? Il a répondu: « Durant toute ma vie, je n'ai jamais manqué de dire le Kiddouch, le vendredi soir [sur le vin]. J'avais une mère âgée, et une fois, je n'avais pas de vin pour Shabbath. Elle a vendu sa coiffe, et a acheté du vin pour [sanctifier] ce jour. » La guémara conclut: « Lorsque la mère de Rabbi Zakkaï est morte, elle lui a laissé 300 barils de vin, et lorsque lui est mort, il a laissé à ses enfants 3 000 barils de vin ».