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Lors d'un voyage à Nouvelle Zélande, le célèbre chanteur Rihanna il a obtenu un tatouage maorie sur sa main droite. Selon certaines sources, sa signification est basée sur la force et l'amour. La vérité est qu'il est soumis aux techniques traditionnelles de moko. Bracelets Maories Si vous êtes arrivé à la fin, c'est parce que vous voulez toujours voir plus d'idées pour vous inspirer pour obtenir un tatouage maorie. Je partage donc avec vous une autre collection d'images de bracelets Maories. Tatouage hameçon polynésienne. Bien sûr, ils ont apprécié cette collection complète de tatouages maoris ou polynésiens. N'oubliez pas de nous partager sur les réseaux sociaux et de laisser un commentaire si vous voulez savoir quelque chose. Tatouage facial Maorie et ses significations: Ta moko Les tatouages faciles sont un autre des éléments distinctifs de cette culture, voyons: Le tatouage facial était divisé en 8 sections du visage: Le centre du front, appelé Ngakaipikirau, désignait le grade général de la personne. La zone sous les sourcils, appelée Ngunga, désignait le position.
Selon les différentes traditions, ils sont un rite de passage. Homme comme femme recevaient leur premier motif à la puberté. Évidemment, entre les îles Samoa, Tonga, Hawaï ou encore la Nouvelle-Zélande, les tatouages ont des significations différentes. "Du point de vue iconographique et des usages locaux, les traditions sont variées", explique au HuffPost Sébastien Galliot, anthropologue, auteur d'une thèse sur le tatouage Saoma. "Dans les îles Marquises par exemple, certains motifs ont des fonctions magiques", poursuit-il. Les tatouages sont un personnage à part entière dans "Vaiana" (et tant mieux) | Le Huffington Post LIFE. Le Pe'a, le tatouage traditionnel qui va de la taille aux genoux qu'arborent les Samoans, est synonyme de courage et de respect. Disney ne s'est donc pas trompé en misant beaucoup sur ces différents motifs. Et le studio s'est montré assez malin pour faire appel à des anthropologues afin de ne pas être à côté de la plaque. De même qu'il a eu la prudence de ne pas ancrer l'histoire de Vaiana dans un archipel particulier, ne prenant ainsi pas le risque de s'emmêler les pinceaux entre les différentes traditions polynésiennes, mais pouvant piocher un peu dans chacune d'entre elles.
Il était inconcevable de ne pas être tatoué sous peine d'être la risée de toute la population. Seuls les tahua tatau, des prêtres habilités à officier dans l'art du tatouage, avaient le droit d'exercer cet art divin. Ils étaient respectés et, en échange de leur travail, recevaient de somptueux cadeaux. Le jeune homme qui avait l'âge de se faire tatouer faisait appel au tahua qui venait alors dans sa maison avec le matériel adéquat. La cérémonie pouvait durer plusieurs jours, au cours desquels le jeune homme souffrait le martyre. En reo ma'ohi, te tatau signifie « taper doucement ». L'outil utilisé pour le tatouage se nomme le ta. Il s'agit d'un peigne comportant plusieurs dents, en os, mais parfois en nacre ou en écaille de tortue, fixé à un manche en bois. Ainsi, le tatouage consistait à inciser légèrement la peau pour y introduire un colorant foncé à l'aide du peigne à tatouer afin d'y graver des motifs divers. Tatouage hameçon polynésie française. Une petite palette en bois servait de maillet pour frapper le peigne. Tatouage polynésien Le choix des motifs et la finesse du dessin indiquaient le rang social du jeune guerrier et son appartenance à une lignée.