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Le brouillard a tout mis Dans son sac de coton; Le brouillard a tout pris Autour de ma maison. Plus de fleurs au jardin, Plus d'arbres dans l'allée, La serre du voisin Semble s'être envolée. Et je ne sais vraiment Où peut s'être posé Le moineau que j'entends Si tristement siffler.
16 novembre 2013 Le brouillard Maurice CAREME "Des poésies" Le brouillard a tout mis Dans son sac de coton; Le brouillard a tout pris Autour de ma maison. Plus de fleurs au jardin; Plus d'arbres dans l'allée; La serre du voisin Semble s'être envolée. Et je ne sais vraiment Où peut s'être posé Le moineau que j'entends Si tristement crier. Commentaires sur Le brouillard Les températures ont bien dégringolées cette semaine et comme chez toi j'ai eu du brouillard et même une petite gelée mercredi. Tes photos sont sublimes une ambiance feutrée s'en dégage. Poème Dans le brouillard… (Pinus sylvestris) par Chafia. Bon week end Une belle poésie de Maurice Carême très joliment illustrée! J'aime! Bon week end Lilly
Je ne sais pas quoi dire:) Le brouillard a tout pris Tout autour de moi Les maisons, les routes Et même les montagnes au loin Je suis aveugle je crois Il faut chercher La porte vers les paysages Je ferme les yeux et je trouve La barrière de bois, toujours Qui ouvrait sur le jardin Et de là les campagnes Les promenades Les haies vives qui bordent les champs Et même Les ports et les bateaux Le sable et l'eau Les voyages plus loin C'est une grande barrière Vermoulue et fragile Qui ne garde de rien Et mène partout
Mon ÂME pleure! Mon ÂME pleure! De longs sanglots, lourdes larmes Voilent mon cœur torturé, l'esprit transporté Dans l'émotif Adagio des Cordes, l'alarme Se déclenche a l'écouter, il m'a emporté! Les sens à fleur de peau, le corps paralysé Mon être transfiguré, je vole au dessus Du réel, la chair dématérialisée A ressentir le mal, je l'ai enfin perçu! La déchirure dans les horreurs de la guerre La Mort annihile tout, la vie est un leurre L'homme est un monstre civilisé si vulgaire Qu'il fait pâlir les Dieux et mon Âme pleure! Le cœur saigne, l'esprit s'émeut, le corps vacille Car les jambes flageolent et je dois m'asseoir Ce morceau a coupé mon âme à la faucille Je suis transfiguré, j'attends la Mort ce soir! Poème le brouillard a tout pris film. A entendre l'Adagio d'Albinoni Je suis prêt à affronter ce cruel destin Qui mènera à jamais vers cet infini Cet ailleurs, je le sais, un jour viendra la fin! J'ai fait le deuil de ma vie, je suis coi, en paix Et je n'ai pas peur! J'ai combattu mes démons Que la Mort m'enveloppe d'un brouillard épais La Camarde me prend, qu'on n'oublie pas mon nom!
Eli déambule durant des années, par monts et par vaux avec dans sa besace une bible (tous les livres ayant été détruits) détruits par le totalitarisme qui comme aujourd'hui (arrive doucement) Il fut un jour La folie avait envahi l'esprit des hommes Ils ne pouvaient plus contrôler les armements Les bombes à neutrons et celles à uranium Engins de mort entre les mains de garnements. Et un jour de beau temps, on entendit un bruit A travers la planète, comme le tonnerre Pourtant pas d'éclairs, on avait lâché les fruits Mortels, fatals, causés par le feu nucléaire! Poésies et chansons CE1 | Le blog de l'ape. La Terre fut ravagée, dévastée, chaos Et anarchie régnaient sur ce monde perdu Il fallait parer au plus pressé, manque d'eau Il ne restait en vie que quelques individus. Tout espoir n'était pas vain, il fallait vivre Au fond de souterrains, des savants avaient construit De grands vaisseaux, des astronefs pour survivre Dans l'espace et quitter ces continents détruits.
La musique pénètre les chairs et le corps Puis envahie l'esprit jusqu'aux portes de l'âme Le fluide coule dans les veines, artères Tout mon être est empli de ses sons musicaux! J'entends le souffle épique des Walkyries de Wagner Surgir des tréfonds de mes souvenirs de jeunesse Ces temps où tout homme se lance des défis Pour parvenir à réaliser ses rêves et idéaux! Et quand arrivera le chant crépusculaire de la vie C'est sur le Canon de Pachelbel que je partirai Accompagné du célèbre Adagio d'Albinoni Et en écoutant celui des Cordes de Barber! J'entends cette musique qui brise mon âme Qui pleure en moi, qui pénètre le cœur, l'esprit J'écoute ces notes et je pense à ma femme Ce triste adagio, l'amour n'a pas de prix! Je marche sur tes pas, attendant la venue De celle qui prendra ma vie, aucun regret Du passé, car la nostalgie est mal venue Pouvoir me souvenir, je le fais de bon gré! Poème le brouillard a tout pris un. Quand le temps sera de rendre sa révérence Et en attendant de rejoindre un autre lieu Remettez ce morceau qui a ma préférence Je pars heureux pour la retrouver dans les cieux!
Jeune à tout prix, rester jeune à tout prix, malgré un cerveau engourdi., Jeune à tout prix pour ceux qui sont amoindris. Jeune à tout prix pour ceux qui sont amoindris, Jeune à tout prix malgré la vie qui s'évanouit. Jeune à tout prix pour éviter l'oubli. Jeune à tout prix pour continuer à avoir l'envie. Jeune à tout prix malgré la barrière de la technologie. Jeune à tout prix, malgré le fossé qui grandit et l'effacer à tout jamais. Jeune à tout prix pour des générations unies. Jeune à tout prix pour la beauté de la vie. Jeune à tout prix pour nos enfants réunis. L'œuvre Le brouillard par l'auteur Aline Fernandez, disponible en ligne depuis 3 ans et 5 mois - Le brouillard a tout pris - Short Édition. Jeune à tout prix pour la douceur de la vie. A. D