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Pascal Chevarie, capitaine de la MER DU NORD de Pointe-aux-Loups, est néanmoins d'avis que cette mesure devrait être abolie. «Avec la Coop du Cap Dauphin qui compte plus de 100 membres, ça élimine beaucoup d'administrateurs potentiels, fait-il remarquer. Et on a déjà de la difficulté à recruter des membres au CA de l'Office. Le prix du homard 2018 nvidia. Il va falloir que ça change. » LES ÎLES-DE-LA-MADELEINE – page 4 – Volume 35, 2 Avril-Mai 2022 Hélène Fauteux Hélène Fauteux est diplômée en communications et journalisme de l'Université Concordia. Établie aux Îles-de-la-Madeleine depuis 1986, elle a développé une solide expertise en matière de pêche et de mariculture.
Le Covid a tout figé. L'an dernier, les 24h de Stan avaient pu se dérouler… en visio. Pas du tout la même ferveur ni la même ambiance évidemment. « C'est finalement un aboutissement de deux ans, c'est incroyable de se retrouver comme ça, en plus il fait super beau! » Un peu plus loin, les étudiants du campus du boulevard des Aiguillettes à Villers (Fac de Sciences, STAPS et TELECOM) chauffent leurs cordes vocales. « Ça fait super plaisir d'être tous ensemble, avec les autres écoles, on a même des anciens qui sont venus nous voir », explique Brice. Jared Betts, le nouveau gardien du homard géant de Shediac. Une tradition qui remonte aux années 1960 Le week-end a débuté en vieille ville, rue des Cordeliers, où les participants se sont regroupés autour de leurs bolides pour le départ d'un grand défilé inaugural. « Le meilleur moment des 24 h de Stan », selon certains… Les chants, les cris, les provocations amusées entre écoles faussement rivales donnent le ton du week-end. Côté organisation, les étudiants du CEOM (Comité étudiant d'organisation des manifestations) de l'ENSAIA (École Nationale Supérieure en Agronomie et Industries Alimentaires) sont à la manœuvre.
«C'est un processus, raconte Monette Léger. Il y a les intempéries qui jouent un rôle là-dedans. On ne sait jamais. Des fois avec la température, il y a des peintures qui marchent moins bien que d'autres. Des fois c'est plusieurs couches après couches et ça devient vraiment beau. » Néanmoins, il y a certains défis à relever par rapport à la mission à accomplir. «C'est un endroit où il y a beaucoup de vent, affirme Monette Léger. Le prix du homard 2018. J'ai vu des fois qu'il ventait tellement que le vent apportait ton pinceau, raconte-t-elle en riant. Il faut se tenir aussi, parce qu'on ne marche pas sur un plancher plat. C'est dur sur les jambes quand tu n'es pas habitué», raconte l'artiste multidisciplinaire. Cela faisait quelques années que Monette Léger songeait à céder sa place à quelqu'un d'autre. «Je vieillis là, je n'ai plus 20 ans», dit-elle en riant. Bref, un travail qui n'est pas toujours évident à accomplir. «Des fois les touristes arrivent puis: S'cusez madame! Voulez-vous vous tasser pour qu'on prenne une photo!