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Le pire dans tout ça: assister en fin de pellicule à la bande-annonce de ce qu'on aurait préféré voir, le premier passage d'Alice à Wonderland. « Putain, Tim. Bo alice aux pays des merveilles tim burton of london. Il avait l'air bien ce film-là. Où est-ce qu'on peut le voir? » Publié dans Preview Étiquettes: 3d, alice aux pays des merveilles, Animation, Anne Hathaway, bande-annonce, cinéma, critique, disney, film, helena bonham carter, Johnny Depp, Mia Wasikowska, tim burton, vidéo
Permettons nous de maintenant basculer vers l'histoire du film qui est tristement bateau. Je ne dévoilerai pas l'intrigue bien qu'elle soit relativement simple. Burton n'a pas eu d'idées cette fois ci, il n'en plus depuis quelques temps d'ailleurs. Héroïque jusqu'au bout des ongles, on a perdu la tension qui émanait du véritable dédale de la version antérieur. Alice va sauver le pays des Merveilles, musique s'il vous plait. Bo alice aux pays des merveilles tim burton fabrique du. Le tout est bizarrement interprété. Anne Hathaway en Reine Blanche surjoue la carte de la préciosité. Johnny Depp campe un Chapelier fou attendrissant et plein de belles volontés. Au contraire le rôle de la Reine Rouge est interprété avec brio par Helena Bonham Carter. Les choeurs d'enfants aux voix sardoniques qui peuplent la musique sont infectes. Ils étaient adaptés à "Charlie et la Chocolaterie" mais certainement pas à Alice. En Bref: Un film pas brillant du tout. Il fallait se pencher beaucoup plus sur l'univers de Carroll et nous amener de nouveaux éléments inconnus.
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