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Si vous ne parvenez toujours pas à mémoriser les croquis, rédigez un cours écrit qui explique la carte. Après avoir appris cette trame écrite, vous saurez reproduire vous-même logiquement le croquis au moment de l'épreuve. Comment mémoriser un croquis? L'apprentissage d'une carte nécessite le recours à la mémoire visuelle. Celle-ci peut être mobilisée à tout moment. Il est conseillé de les imprimer en plusieurs exemplaires et de les afficher partout dans votre maison: dans votre chambre, votre salle de bains, vos fonds d'écran de smartphone… Plus vous vous familiariserez avec les cartes, plus vous retiendrez les informations qu'elles véhiculent, et mieux vous pourrez les reproduire le jour du Bac. Carte geo terminal s maths. Certains élèves préfèrent en faire une chanson, si le thème s'y prête. Le rythme que vous trouverez vous permettra de vous souvenir plus facilement des paroles (et donc du cours). Encore faut-il savoir placer les différentes localisations! Par ailleurs, il ne faut pas négliger l'apprentissage de la légende.
Certains s'interrogent sur l'utilité d'une carte en géographie? Elle permet de visualiser des données statistiques et d'observer le territoire de façon très rapide. Puisqu'une image vaut mille mots, le croquis constitue une alternative au cours écrit, par la représentation schématique de situations réelles. Les élèves de Terminale S doivent en apprendre 6 et les élèves de ES/L en ont 7 au programme. L'exercice étant noté sur 8 points, il permet aisément de passer au-dessus ou en-dessous de la moyenne. A ne pas négliger donc! Pour quel(s) métier(s) êtes-vous fait? Faites le test pour le savoir! À chaque exercice, ses règles Tout d'abord, il vous appartient de connaître les règles à appliquer pour un croquis. L'académie de Dijon propose cette fiche qui résume les conventions et les méthodes. La légende se rédige toujours à droite, sauf pour les cours d'eau. Comment réviser les croquis de géographie du Bac ?. Le candidat représentera par exemple les fortes densités ou les zones de conflit avec des couleurs chaudes et les faibles densités ou les zones peu attractives avec des couleurs froides.
Les océans s'écrivent en majuscules détachées, en bleu et les mers en minuscules. Évidemment, l'étude d'un croquis oblige à maîtriser la localisation et la délimitation de ses territoires, c'est-à-dire être capable de déterminer les villes et les éléments géographiques importants (réseaux fluviaux, maritimes, ses reliefs, etc. ) Comment l'étudier? « C'est un outil qui doit s'étudier méthodiquement », affirme Bérengère Masson. D'abord, il s'agit d'évaluer les interactions entre les territoires, puis les inégalités et les forces des territoires. Réviser le cours - Géographie - Terminale - Assistance scolaire personnalisée et gratuite - ASP. Et enfin l'organisation de ces territoires. Apprendre, c'est répéter. Pour mémoriser les espaces étudiés pendant votre année, il convient de s'entraîner sur des cartes vierges ou des schémas faits à la main. En outre, « un octogone peut suffire pour représenter la France » signale la professeure. De son côté, Denis Cousin précise qu' « un croquis n'est en fait qu'une façon de rédiger autrement la réponse à une problématique ». Ainsi, il convient d'apprendre le croquis avec le cours ou l'étude de cas correspondante sous les yeux.
En 2012, 9, 5 milliards de tonnes de marchandises ont été transportées sur navires. Tout passe par la mer: produits miniers, charbon, hydrocarbures), produits de grande valeur (trafic de conteneurs), fret divers. Les océans pacifique et océan indien sont les plus fréquentés: exemple la Chine polarise une grande partie des flux de marchandises: elle absorbe notamment en effet 65% du minerai de fer mis sur le marché mondial. La révolution du transport maritime Le gigantisme naval s'est développé pour faire des économies d'échelle. BAC Histoire-géo : Les cartes de géographie - YouTube. Cependant, ce gigantisme peut poser problème pour le passage de certains seuils, comme le canal de Panama. En volume mais surtout en valeur, ce gigantisme concerne les conteneurs, véritables symboles de cette mondialisation maritime. « La boîte qui a changé le monde » a été inventée par un routier américain, Malcolm McLean, avec l'idée de faciliter le transport de marchandises en permettant de passer du bateau au semi-remorque facilement. D'abord limité au marché américain, le modèle se diffuse à l'ensemble du monde avec une standardisation du volume: le conteneur standard (1 EVP).